L’hydrolienne
Une hydrolienne désigne une structure immergée utilisant la force provoquée par les courants marins ou fluviaux (force cinétique) pour produire de l’énergie mécanique, puis la transformer en électricité. Encore très minoritaire dans le mix énergétique, la production d’énergie hydrolienne offre pourtant de belles perspectives de développement, au même titre que d’autres filières d’énergies renouvelables. Focus de Choisir.com sur le potentiel de l’énergie hydrolienne, ainsi que ses avantages et inconvénients.
Qu’est-ce qu’une hydrolienne ?
La filière des énergies renouvelables (photovoltaïque, éolienne, biomasse, etc.) exploite différentes alternatives aux énergies fossiles pour produire de l’électricité telles que l’énergie hydrolienne.
Le principe de l’énergie hydrolienne
L’hydrolienne désigne une installation immergée, une hélice accompagnée d’une turbine hydraulique, utilisant la force motrice des courants marins ou fluviaux – ce que l’on nomme l’énergie cinétique – pour créer une énergie mécanique. Cette énergie mécanique est transformée en énergie électrique pour être injectée dans le réseau de distribution d’électricité géré par Enedis.
L’énergie hydrolienne est souvent comparée à l’énergie éolienne via son apparence et son mode de fonctionnement : l’éolienne, composée d’une grande hélice, utilise la force des vents pour actionner une turbine et produire de l’électricité ; mais contrairement à cette dernière, les courants marins sont facilement prédictibles des mois à l’avance, ce qui n’est pas le cas des vents et de leur intensité.
Les autres énergies marines renouvelables
Les installations hydroliennes, et l’énergie hydrolienne qu’elles produisent, appartiennent à une famille d’énergies renouvelables utilisant la force de l’eau (marées, courants marins, courants fluviaux) pour produire de l’électricité : les énergies marines. Ainsi, l’énergie créée est issue d’une ressource naturelle que l’on retrouve sur près de 70 % du globe terrestre : l’eau, et ses mouvements créés par la mer et les océans, les fleuves, et les marées. Son potentiel d’exploitation est prometteur et exempt d’émissions de gaz à effet de serre.
Ces flux d’énergie sont exploités dans différents modes de production en développement ou encore en expérimentation :
- les hydroliennes, sujet de notre article ;
- l’énergie marémotrice utilise le principe du marnage – les marées – ou la différence de hauteur de l’eau entre la marée haute et la marée basse est utilisée dans une usine marémotrice pour produire de l’électricité ;
- l’énergie houlomotrice issue du mouvement des vagues – la houle – créé par le vent à la surface des mers. L’énergie est captée par un système de pompage et de turbinage via des bouées ;
- l’énergie osmotique qui exploite la différence de salinité entre l’eau douce et l’eau de mer qui se rencontrent aux estuaires ;
- la biomasse marine qui regroupe les diverses matières organiques présentes dans l’eau (algues) qui produisent de l’énergie via différents procédés (combustion, méthanisation, transformation chimique) ;
- la thalassothermie, un processus qui permet de transformer l’énergie de la mer (thalasso) en chaleur (thermie) ;
- l’énergie maréthermique, qui utilise la différence de température entre les eaux de surfaces et celles des profondeurs.
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faire une simulationFonctionnement d’une hydrolienne
Voyons dans le détail comment fonctionne une hydrolienne et quelles sont les éventuelles contraintes techniques auxquelles elle peut être soumise.
Principes mécaniques et installation de l’hydrolienne
Par définition, l’hydrolienne produit une électricité verte et se présente visuellement comme une éolienne subaquatique.
Concrètement, une hydrolienne se compose de 3 éléments :
- une roue (le rotor, la partie rotative) ;
- une hélice constituée de pales (le moteur de la turbine) de diamètre entre 10 et 20 mètres ;
- un arbre (un stator, la partie fixe).
L’installation d’une hydrolienne peut être réalisée :
- soit sur un mât avec une hauteur suffisante pour le garder à la surface de l’eau lors des opérations de maintenance ou de déplacement ;
- soit sur un tripode qui permet de poser « simplement » l’hydrolienne sur le fond marin.
Le fonctionnement d’une hydrolienne peut se décomposer ainsi :
- la rotation des pales de l’hélice réalisée par les courants marins, entraîne une turbine qui génère un mouvement mécanique. La turbine de l’hydrolienne fonctionne dans les deux sens du courant marin ;
- la rotation de la turbine de l’hydrolienne entraîne un alternateur (générateur électrique), qui convertit l’énergie mécanique en un courant électrique alternatif et variable (selon l’intensité du courant marin) ;
- le courant électrique alternatif est ensuite conduit à la terre via un câble de connexion, puis transformé par un convertisseur pour être « élevé » (adapté) aux lignes électriques à haute tension ;
- le courant électrique est acheminé via des câbles sous-marins vers le réseau électrique.
Rendement énergétique d’une hydrolienne
L’hydrolienne profite des courants marins et du volume important de l’eau (masse volumique 832 fois plus élevée que l’air) pour produire de l’électricité. Cependant, pour que le rendement énergétique d’une hydrolienne soit optimal, il est nécessaire de réunir certaines conditions, ceci afin d’avoir une capacité de production idéale de l’ordre de 1 MW/an d’électricité :
- placer l’hydrolienne face à un courant marin moyen de 2,5 m/s, soit 5 nœuds, sachant que l’hydrolienne fonctionne à pleine puissance à partir de 4 nœuds ;
- avoir une surface d’interception du courant de l’ordre de 300 mètres, soit 20 mètres de longueur de pales.
Autre facteur important à prendre en compte : le caractère prévisible des courants marins. De manière régulière, voire sinusoïdale, le courant marin change de sens selon les phases de la Lune. Pendant cette étape de « retournement », l’hydrolienne ne produit plus d’énergie. On estime ainsi que l’hydrolienne fonctionne à pleine puissance en moyenne entre 11 et 14 heures par jour.
Sachant également que la puissance énergétique produite ne représente que 60 % de la puissance énergétique théorique (déduction faite de l’énergie nécessaire pour convertir l’énergie mécanique en énergie électrique), l’hydrolienne reste un dispositif qui ne produit de l’électricité que par phases, comme la plupart des autres technologies renouvelables (éolien, solaire, etc.).
Ce constat se remarque dans le mix énergétique puisque les énergies marines sont encore ultra-minoritaires puisqu’elles représentaient 0,1 % de la production primaire d’énergie renouvelable en 2021. Un chiffre encore bien loin dans son secteur et encore plus loin du nucléaire, pilier du mix énergétique, mais qui ne peut que grandir au fil des années !
Les différents types d’hydrolienne
Au fil des expérimentations et des progrès de la technologie, la filière hydrolienne a donné naissance à différents types d’installation :
- l’hydrolienne à axe horizontal qui représente le type d’hydrolienne le plus utilisé dans le monde. Visuellement similaire à une éolienne à axe horizontal, l’hydrolienne est soit fixée par un socle au sol marin avec une partie non immersive pour pouvoir remonter les hélices lors de la maintenance ou en cas d’incident, soit montée sur une barge ou une plateforme permettant de la transporter sur l’eau puis de l’immerger plus facilement ;
- l’hydrolienne à axe vertical qui consiste en une hélice fixée à un mat. Les pales de l’hélice sont positionnées à la verticale du mat et tournent autour de lui. Ce type d’hydrolienne a une capacité de production d’énergie moins importante que sa « sœur » à axe horizontal ;
- l’hydrolienne à turbine libre qui consiste à fixer les pales de l’hydrolienne sur un axe circulaire avec un trou central. Ce trou central permet à la faune sous-marine environnante de passer à travers. EDF a installé un prototype de ce type pour son projet d’hydrolienne à Paimpol-Bréhat (16 m de diamètre pour un poids de 850 tonnes) ;
- l’hydrolienne à aile (capteurs) oscillante qui imite les battements des nageoires des poissons et des mammifères marins ;
- les hydroliennes à la chaîne qui consistent à poser, à même les fonds marins ou aux embouchures des fleuves, une série d’hydroliennes les unes à côté des autres. Le projet d’hydrolienne « Normandie Hydro » lancé par EDF consiste en l’installation de 7 hydroliennes dans les fonds marins du Raz Blanchard ;
- l’hydrolienne à vis d’Archimède qui reprend le mécanisme de la vis sans fin, inventé à l’Antiquité pour le pompage de l’eau nécessaire à l’irrigation des cultures. Adapté à la production d’électricité, le mécanisme de la vis d’Archimède consiste à installer l’hydrolienne sur une petite chute d’eau et d’utiliser la force de l’eau pour faire tourner la turbine en continu ;
- l’hydrolienne autoporteuse ou à cerf-volant consiste à installer l’hydrolienne au bout d’un câble, et de la laisser graviter au gré des mouvements du courant marin. Ce principe reprend le fonctionnement du cerf-volant virevoltant dans l’air en fonction de la force du vent.
Avantages et inconvénients de la technologie hydrolienne
La technologie utilisée pour la production de l’énergie hydrolienne comporte des atouts indéniables, mais également quelques inconvénients.
Les avantages des hydroliennes
- Une production d’électricité issue d’une source d’énergies renouvelables (l’eau et ses courants) non polluante, gratuite, continue, inépuisable et non émettrice de gaz à effet de serre.
- Une hydrolienne est de taille moins importante qu’une éolienne à puissance équivalente.
- Une hydrolienne a un impact visuel moins important, car elle est moins imposante qu’une éolienne ou un barrage hydraulique.
- Le caractère prédictible des courants marins (phases de la Lune) permet d’anticiper sur les productions prévisionnelles.
- Le potentiel important de la filière hydrolienne au vu du nombre conséquent de courants marins partout dans le monde.
- Les pales ne possédant aucuns bords coupants, elles ne représentent pas un danger conséquent pour la faune marine.
- Les hélices réalisent 10 à 15 tours par minute, un rythme 10 fois inférieur à ceux des bateaux, ce qui réduit les risques de perturbation de la vie marine.
- De nombreuses espèces s’approprient le socle et l’armature comme refuge, transformant l’hydrolienne en véritable récif.
- Les hydroliennes nécessitent moins d’entretien que d’autres systèmes de production d’électricité car la rotation des hélices évite les dépôts de sédiments et l’évasement de la structure.
Les inconvénients des hydroliennes
- La structure d’une hydrolienne nécessite une maintenance lourde hors de l’eau, avec démontage complet de l’hélice.
- Les pales de l’hélice de l’hydrolienne constituées avec des matériaux en composite, sont sensibles à l’érosion produite par le sel de l’eau, ainsi que le sable.
- La rouille et la corrosion dues à l’eau de mer empêchent ces dispositifs d’être récupérés ou réutilisés.
- L’hydrolienne en marche reste un dispositif extrinsèque qui peut perturber la sédimentation présente dans les fonds marins, ainsi que la faune et la flore.
- Même si les hélices sont conçues pour porter la plus faible atteinte possible à la vie marine, les rotations des pales peuvent toujours causer des blessures sur les mammifères marins, ainsi que les hommes.
- Le mouvement des hélices crée des turbulences qui perturbent le développement des végétaux.
- L’utilisation de peinture antifouling (antisalissures organiques type algues) sur la partie immergée de l’hydrolienne est particulièrement nocive pour la faune et la flore vivantes dans l’eau, notamment par la présence d’un biocide polluant.
- Les nuisances sonores possibles lors de la construction de l’hydrolienne.
- La gêne possible envers les activités de pêche et de navigation même si les hydroliennes sont positionnées dans des zones hors chalutage.
- Les coûts d’exploitation et d’investissement sont élevés, estimés du double de ceux de l’éolien à puissance installée égale.
Le développement de l’énergie hydrolienne en France
Le développement de la filière de l’énergie hydrolienne en France et son potentiel d’exploitation, dépendent de différents facteurs (conditions d’implantation, implication des instances gouvernementales).
Les conditions d’installation d’un site de production d’énergie hydrolienne
La filière hydrolienne est soumise à de multiples contraintes, dont la principale étant les zones d’installation des sites de production. Plusieurs conditions doivent être réunies afin de pouvoir installer des équipements dédiés à la production d’énergie hydrolienne :
- la zone doit comporter un important courant de marée, avec un niveau de puissance estimé entre 4 et 5 nœuds, suffisant pour faire tourner un diamètre de roue compris entre 10 et 20 mètres ;
- la zone doit avoir une profondeur entre 30 et 40 mètres qui permet à la fois de faciliter les activités de maintenance et de transport, mais également de ne pas trop gêner les activités nautiques ou de pêche ;
- la zone doit être à proximité des côtes afin de pouvoir tirer un câble sous-marin pour acheminer l’électricité produite.
La France, avec ses 11 millions de km² de domaine maritime, est le 2e pays en Europe après le Royaume-Uni à concentrer les zones les plus propices à l’installation d’hydroliennes entre la Manche, la mer du Nord et la mer d’Irlande.
Les deux zones d’exploitation en France, qui concentrent les gisements marins les plus porteurs pour le développement et l’exploitation de la filière hydrolienne, se situent entre le Raz Blanchard en Normandie et le Passage du Fromveur en Bretagne ; le potentiel énergétique de ces deux zones est estimé à 3 000 MWh/an.
Les acteurs de la production hydrolienne en France
Les entreprises de la filière de production hydrolienne représentent près de 29 % des métiers du secteur des énergies de la mer (énergie éolienne, houlomotrice, marémotrice, thermique). On peut notamment citer quelques entreprises françaises majeures telles que :
- Naval Group, précurseur avec la première usine d’assemblage en France inaugurée en 2018 ;
- HydroQuest, qui est à l’origine du développement et de l’installation du démonstrateur hydrolien marin à Paimpol-Bréhat en 2019 ;
- Qair, un producteur indépendant d’électricité et d’hydrogène renouvelable qui collabore avec HydroQuest pour le projet Flowatt, la première ferme pilote hydrolienne française et la plus puissante au monde ;
- Sabella, une PME bretonne qui a mis en place une hydrolienne dans le Golfe du Morbihan et sur la presqu’île d’Ouessant ; l’atout indéniable de cette seconde solution énergétique est de proposer une énergie alternative renouvelable à une population insulaire non connectée au réseau de distribution générale d’électricité ;
- Normandie Hydroliennes, Développeur de projets d’énergie hydrolienne, Normandie Hydroliennes (NH) a pour objectif de « favoriser le déploiement de la filière d’énergies sous-marines renouvelables pour enrichir le mix énergétique ». Pour ce faire, l’entreprise développe un projet novateur NH1 dans le Raz Blanchard (à l’ouest de Cherbourg), où sera construite la turbine AR3000, la plus puissante jamais produite. Voici les grandes lignes de ce projet :
- 4 hydroliennes de 3MW chacune => la plus efficace en exploitation commerciale dans sa classe au monde à ce jour
- Déployées à environ 3 km à l’ouest de la côte du Cap de la Hague, dans une zone optimum à très forts courants
- Installées sous mer à au moins 38 mètres de profondeur, sans impact visuel et dans le respect de la vie maritime
- 12MW de puissance nominale produite avec seulement 4 hydroliennes
- Localisées dans le Raz Blanchard en Normandie
- Générant une énergie propre, fiable et prévisible
- +1 250 emplois directs et indirects en France en 2025/2026
- 7 000 foyers et entreprises approvisionnés d’une énergie propre
- Q4 2026 : mise en service des 4 turbines AR3000
- 2027 : production de l’énergie
La filière des énergies marines, un secteur créateur d’emploi et de richesse
Dans le « Pacte pour l’éolien en mer », la filière s’est fixé un objectif pour 2035 de créer 20 000 emplois. Pour l’atteindre, il faut créer un peu plus de 1 000 emplois par an. À la lumière des dernières données chiffrées sur le secteur, l’hydrolien surfe sur la vague du succès avec 6 591 emplois équivalent temps plein (ETP) en 2021, répartis de la façon suivante :
- 5 530 dans les entreprises prestataires et/ou fournisseurs de la chaîne de valeur ;
- 735 dans les développeurs exploitants ;
- 264 dans les organismes de recherche et/ou de formation ;
- 62 chez les acteurs institutionnels et gestionnaires de port.
Ci-dessous, vous retrouverez la répartition des emplois par région. On constate que l’ouest de la France, et de manière générale les régions littorales, jouissent d’un bassin d’emploi très actif (Normandie, Bretagne, Pays de la Loire, Occitanie et Paca).
Les perspectives et les freins à la filière
La filière hydrolienne, avec ses 10 ans d’expérience, est relativement jeune par rapport à d’autres filières des énergies renouvelables telles que la filière éolienne, photovoltaïque ou la filière de l’hydraulique. Son potentiel énergétique est cependant prometteur puisque de nombreux acteurs de la filière annoncent des chiffres-clés convaincants :
- le Syndicat des énergies renouvelables (SER) estime que le potentiel énergétique de la France se situe entre 3 000 et 5 000 MW/an, soit 30 % des capacités de production totales européennes ;
- l’énergéticien national EDF annonce de son côté que le potentiel de production français peut atteindre 10 TWh/an, soit l’équivalent de la production annuelle d’électricité d’un réacteur nucléaire de 1 500 MW.
Signé début 2022 par le gouvernement et la filière, le pacte pour l’éolien en mer vise un objectif de 40 GW installés en 2050 par un rythme d’attribution minimale de 2 GW/an.
La filière s’est fixé 4 enjeux pour respecter ses engagements :
- sécuriser des perspectives de développement pour les EMR, à court, moyen et long terme, dans le cadre de l’adoption de la Programmation Pluriannuelle de l’énergie et des exercices de planification spatiale ;
- poursuivre la démonstration et maturation technologique de chacune de ces énergies, par la réalisation de fermes pilotes, de démonstrateurs et le développement de briques technologiques ;
- maintenir le bon positionnement des technologies françaises sur le marché international croissant ;
- accroître la connaissance de la ressource pour permettre l’émergence de projets en Outre-mer et dans les zones insulaires en particulier.
Le développement de la filière se heurte néanmoins de multiples freins inhérents :
- aux coûts d’exploitation et de maintenance des installations hydroliennes. L’énergie hydrolienne marine coûte cher à produire, l’Ademe évalue le prix du mégawattheure à 365 € pour 2021 et 120 € en 2030 au fil de la maturité et des progrès de la technologie hydrolienne marine (avec moins de maintenance à long terme). Les coûts sont relativement moins élevés pour l’hydrolien fluvial où le prix du mégawattheure est estimé à 150 € ;
- le manque d’implication du gouvernement acté par l’absence de la filière hydrolienne dans les grandes orientations de la politique énergétique nationale (financement et appels à projets), notamment dans le plan de Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) de 2019 à 2028. « Le Gouvernement considère que les conditions pour le lancement d’un appel d’offres commercial ne sont pas réunies et n’en prévoit donc pas dans la période couverte par la Programmation pluriannuelle de l’énergie. » ;
- et la conséquence possible des deux facteurs précédents, l’arrêt des investissements en recherche et développement de certaines entreprises du secteur (Naval Group en 2018).
Vous l’aurez compris, l’hydrolienne fait partie de la grande famille des énergies renouvelables, celles qui feront tourner nos machines et fonctionner nos ampoules dès demain. Vous voulez que cette filière – et toutes les autres – devienne de plus en plus rayonnante dans le parc de production d’électricité français ? Optez pour une offre d’électricité verte ! Choisir.com vous propose un comparatif simple et gratuit des meilleures offres pour faciliter votre prise de décision. N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations !
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