Les prix de l’électricité en Europe
Depuis 2008, le prix de l’électricité en France a bondi de plus de 60 % et avec lui, la facture d’électricité des Français. Cette hausse continue donne parfois le vertige, alors que la France avait la réputation de bénéficier d’une électricité peu chère grâce à son parc nucléaire. En 2019, la hausse a été de 3,8 % d’après le ministère de la Transition écologique par rapport à 2018. Cette hausse est-elle la même partout en Europe ? Et d’ailleurs, quels sont les prix de l’électricité en Europe ?

Les prix de l’électricité en Europe : comparaison et classement
Tous les ans depuis 2016, une enquête sur la transparence des prix du gaz et de l’électricité en Europe est commandée par Eurostat, l’organisme public chargé des statistiques dans l’Union Européenne. Cette enquête permet ensuite de publier des statistiques sur le prix de l’électricité dans les pays membres de l’Union Européenne et de faire des comparaisons.
Dans quels pays d’Europe l’électricité est la moins chère ?
Lorsque l’on fait une comparaison des prix de l’électricité, il faut s’intéresser au profil des consommateurs. En effet, le prix de l’électricité n’est pas le même pour un ménage que pour un client professionnels. Quelles sont les différences des tarifs de l’électricité dans l’Union Européenne pour ces types de consommateurs ?
Sur le segment des particuliers
En ce qui concerne le prix de l’électricité pour les ménages, ce sont les pays d’Europe de l’Est qui sont en tête du classement. L’enquête sur les prix du kWh d’électricité de 2019 montre que l’électricité la moins chère se trouve en Bulgarie, avec un prix à moins de 0,10 €/kWh. Elle est suivie de près par la Hongrie à 0,11 €/kWh et la Lituanie à 0,12 €/kWh.
La France, 16e pays le moins cher sur 28, est bien classée avec son prix du kWh d’électricité moyen à 0,176 €/kWh. A l’inverse, le Danemark, l’Allemagne et la Belgique sont les pays où l’électricité est la plus chère, à près de 0,30 €/kWh.
Pour les consommateurs non résidentiels
Sur le segment les professionnels, entreprises et collectivités, le classement diffère. Avec un prix moyen du kWh porté à 0,1024 € HT en 2019, la France est 13e sur 28 pays de l’Union Européenne en 2019. Elle est en-dessous de la moyenne européenne portée à 0,1251 € HT par kWh.
Le Danemark, la Finlande ou encore la République tchèque font partie des pays les plus compétitifs avec un prix du kWh HT avoisinant les 0,07 € euros en 2019. A l’inverse, l’Italie (0,166 €/kWh HT), le Portugal (0,189 €/kWh HT) et l’Allemagne (0,156 €/kWh HT) apparaissent comme les plus chers.
Pourquoi une telle différence entre les ménages et les professionnels ? Tout d’abord, parce que les prix sont annoncés en hors taxe pour les entreprises alors qu’ils sont présentés en toutes taxes comprises pour les particuliers.
D’autre part, parce que les prix de fournitures varient entre les différents acteurs. On peut faire un parallèle avec l’approvisionnement en aliments d’un restaurant ou d’une cantine scolaire. Ces acteurs achètent les produits alimentaires en gros, ce qui fait baisser les prix à l’unité. A l’inverse les ménages achètent leurs fruits et légumes au détail, ce qui est souvent plus cher à l’unité. C’est la même chose pour les livraisons d’électricité. Plus on achète d’électricité, plus on peut négocier le prix du kWh.
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Comment expliquer les différences de prix de l’électricité en Europe ?
Le prix de l’électricité varie d’un pays à l’autre en fonction de différentes modalités. Coût de fourniture, acheminement, taxes, politiques énergétiques, découvrons les critères qui influent.
La répartition de la facture d’électricité
Pour bien comprendre les différences de prix de l’électricité, il est nécessaire de connaître les éléments qui entrent dans son calcul. En effet, le prix facturé au consommateur regroupe les coûts de l’ensemble du processus de production, d’acheminement et de distribution. D’après la Commission pour la régulation de l’énergie (CRE), la facture d’électricité se décompose en trois axes :
- le coût de fourniture, qui dépend de la méthode de production de l’électricité, mais aussi des frais de gestion commerciale des distributeurs. La répartition des différentes sources d’énergie dans la production d’électricité est appelée mix énergétique ;
- le coût de transport et de distribution sur le réseau. Il finance l’entretien du réseau (lignes à haute tension, compteurs…) et les investissements nécessaires pour améliorer le service ;
- le niveau des taxes et contributions diverses. Ce paramètre est celui qui varie le plus, car ces contributions peuvent financer des projets très divers (programmes sociaux, politiques d’investissement, système de retraite…).

Ces trois composantes expliquent les différences de prix du simple au triple de l’électricité entre pays européens. En effet, la structure du coût de l’énergie dans chaque pays dépend de son histoire et des choix stratégiques qui ont été pris parfois il y a plusieurs décennies.
Ainsi, la Bulgarie produit 48 % de son électricité dans des centrales à charbon et 35 % dans des centrales nucléaires anciennes. Ces deux sources d’énergie sont parmi les moins chères, mais posent d’autres problèmes : la sécurité et la pollution. Depuis plusieurs années, le pays ferme petit à petit ses centrales nucléaires les plus anciennes et doit les remplacer. D’autre part, les centrales au charbon sont extrêmement polluantes : les émissions de CO2 par personne sont de 6,02 tonnes par Bulgare contre 4,57 t/hab en France, près de 40 % en plus.
Au contraire, des pays comme le Danemark ou l’Allemagne accordent une priorité importante aux énergies renouvelables qui nécessitent des investissements coûteux. Ces décisions ont été prises il y a une dizaine d’années.
Dans le cas de l’Allemagne, il s’agissait de remplacer des centrales nucléaires, dont le pays a décidé la sortie en 2010, qui représentaient moins de 15 % de la production d’électricité. Encore aujourd’hui, les centrales à gaz et à charbon produisent près de 50 % de l’électricité du pays. L’Allemagne est désormais dans une deuxième période de transition, pour abandonner progressivement les centrales thermiques très polluantes.
Transport et distribution : quel impact sur le prix ?
Concernant le coût de transport et de distribution, il est plus élevé en Italie et en Allemagne qu’en France, où il représente environ 30 % du coût du kWh. Il s’agit du tarif d’utilisation du réseau public d’électricité (TURPE) mentionné sur votre facture. Cette différence s’explique car le réseau français est centralisé et unique depuis la création d’EDF en 1946, alors que les réseaux italiens et allemands se sont construits de manière décentralisée. Aujourd’hui, depuis l’ouverture à la concurrence, ce sont deux filiales d’EDF qui gèrent le réseau :
- RTE (Réseau de transport d’électricité) s’occupe du réseau de transport, des lignes à haute tension ;
- Enedis (ex-ERDF) est en charge du réseau de distribution, des lignes à moyenne et basse tension.
Le poids des taxes
En ce qui concerne le niveau de taxes et de contributions, il dépend des objectifs politiques et des projets financés. L’Allemagne a fait le choix de financer massivement le passage aux énergies renouvelables depuis la fin des années 2000. Cela a permis de les faire passer de 15 % à 30 % de la production en moins de 10 ans. Cette transition est payée par les consommateurs, pour qui les taxes représentent les deux tiers du prix de l’électricité. A titre de comparaison, en France les taxes ne comptent “que” pour 35 % du prix de l’électricité.
Ainsi, en fonction de la part du nucléaire et des énergies fossiles dans la production d’électricité, du coût du réseau mais aussi du niveau de taxes dans le prix de l’électricité, les consommateurs payent des prix très différents en fonction des pays.
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faire une simulationLes prix de l’électricité en France par rapport à l’Europe
Alors que la France a la réputation d’avoir une électricité peu chère, il convient de la remettre en perspective au niveau européen. Le prix du kWh est en réalité un peu moins cher que la moyenne européenne, mais la France reste 16e sur 28. Nous verrons qu’en réalité, il s’agit plutôt d’une bonne place dans le classement. Penchons-nous sur les raisons qui permettent cette performance.
Le nucléaire : un prix maîtrisé de l’électricité en France
En France, le nucléaire représente 70,6 % du mix énergétique en 2019, selon RTE. Cette proportion, en baisse légère ces dernières années, permet de bénéficier d’une électricité à bas coût et peu émettrice de CO2. Au niveau mondial, la France est le deuxième producteur d’électricité d’origine nucléaire, derrière les États-Unis. Le parc nucléaire français représente 16 % des capacités de production nucléaire dans le monde.
Le choix de l’énergie nucléaire en France date des années 1970. La plupart des 56 centrales ont été construites dans les années 1970 et 1980. En effet, suite aux chocs pétroliers, la France a engagé un programme de nucléaire civil. Cela lui a permis de devenir plus indépendante en énergie en passant des centrales thermiques (gaz, fioul, charbon) à des centrales nucléaires. Ces centrales, d’une durée de vie initiale de 40 ans, doivent donc être prochainement soit fermées, soit subir des travaux de transformation très importants, pouvant doubler la durée de vie initiale, dans certains cas.
Pour permettre le développement de la concurrence, l’accès à l’électricité d’origine nucléaire, bon marché, produite par EDF est rendu possible à tous les fournisseurs d’électricité. Cela permet de maintenir des prix bas pour tous les consommateurs. L’Accès régulé à l’énergie nucléaire historique (ARENH), un mécanisme existant depuis 2011, donne en effet le droit aux distributeurs concurrents d’EDF de racheter de l’électricité nucléaire à un prix fixé à l’avance. Les fournisseurs alternatifs peuvent acheter de l’électricité nucléaire à 42 € le MWh, dans une limite totale de 100 TWh (soit un quart de la production nucléaire d’EDF).
En 2019, le prix payé par les ménages français (0,176 €/kWh) est ainsi plus accessible que dans les autres pays d’Europe occidentale, que ce soit le Royaume-Uni (0,212 €/kWh), l’Espagne (0,24 €/kWh), l’Italie (0,23 €/kWh) ou l’Allemagne (0,309 €/kWh).
Cette tendance se retrouve également par rapport au niveau européen. Le prix moyen du kWh en France est inférieur de 14 % à la moyenne européenne. Un écart important ! Mais comme l’explique le ministère de la Transition écologique, « cet écart, qui était de 28 % en 2007, tend à se réduire ».
Alors que chez nos voisins, les prix de l’électricité fluctuent parfois fortement, les prix de l’électricité en France augmentent progressivement. Ils restent néanmoins inférieurs à ceux des principales économies d’Europe de l’Ouest.
Le choix de la production massive d’électricité d’origine nucléaire en France a permis de développer une production d’énergie bon marché et peu émettrice de CO2. Cependant, les questions sur la sécurité des centrales et les enjeux liés à leur vieillissement nécessitent la prise d’orientations stratégiques pour déterminer l’avenir du mix énergétique français. Ces décisions ont un impact sur le coût de fourniture de l’électricité.
Il est difficile de savoir exactement comment le prix de l’électricité pourra être impacté. En effet, le grand carénage, le plan de maintenance des centrales nucléaires, est estimé à 49,4 milliards d’euros courants par EDF sur la période 2014-2025. La Cour des Comptes a jugé ces prévisions optimistes. Elle estime que le coût du grand carénage sera de 100 milliards d’euros.
Des taxes sur l’électricité moins élevées que la moyenne européenne
Contrairement à ce qu’on pourrait imaginer, la part des taxes dans le prix de l’électricité en France n’est pas hors du commun. En effet, la moyenne européenne se situe à 0,08 €/kWh quand la France prélève 0,06 €/kWh.
Certains pays ne prélèvent presque aucune taxe sur l’électricité. Ainsi, Malte n’impose qu’un taux de TVA à 5 %. Cela en fait le pays européen qui taxe le moins l’électricité de ses consommateurs. A l’extrême inverse, l’électricité peut être très lourdement taxée comme en Allemagne. Le pays présente un montant des taxes sur les énergies renouvelables porté à 67,56 €/MWh. L’équivalent français, la contribution au service public d’électricité (CSPE), est porté à 22,5 €/MWh.
Le niveau de taxation de l’électricité en France est légèrement inférieur à la moyenne européenne. Cependant, le montant des taxes prélevées a triplé depuis 2008. Cela est dû aux besoins d’investissement pour financer la transition énergétique ainsi que les investissements dans le réseau électrique (enfouissement des lignes, raccordements…).
En France, les taxes sur l’électricité sont très variées et ont des buts distincts :
- la TVA (14 % du prix TTC) contribue au budget général de l’État ;
- la CSPE (contribution au service public d’électricité) représente 11 % de la facture et finance principalement les investissements pour la transition énergétique. Son montant a été multiplié par plus de 3 entre 2011 et 2016, mais il n’a pas évolué depuis ;
- la TCFE (taxe sur la consommation finale d’électricité) est déterminée par les départements et les communes, auxquels elle est reversée. En moyenne, elle compte pour 5 % du prix de l’électricité ;
- la CTA (contribution tarifaire d’acheminement) est un mécanisme de financement des droits à la retraite des agents de l’industrie électrique et gazière qui contribuent à l’acheminement de l’électricité. Elle s’élève à 4 % de la facture environ.
Alors que les différentes taxes et contributions représentent 32 % du coût du kilowatt-heure pour les consommateurs, ce niveau reste inférieur à la moyenne européenne (38 %). Néanmoins, les enjeux liés à la transition écologique pourraient voir le montant des taxes augmenter fortement dans les années à venir.
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Une tendance générale à la hausse des prix de l’électricité en Europe
Au niveau européen, les prix de l’électricité ont augmenté au cours des 10 dernières années. En effet, selon les données d’Eurostat, l’augmentation moyenne était de 3,3 % par an entre 2009 et 2019. Cette moyenne cache des disparités importantes : les prix ont plutôt stagné en Italie (+ 4,35 % en 10 ans) quand ils ont augmenté de 4 % par an en Allemagne. Dans tous les pays d’Europe, cette hausse constante est due à plusieurs facteurs, qui varient en fonction des situations :
- la hausse des coûts de fourniture d’électricité (ou coûts de production) est due à l’abandon progressif des centrales à charbon et au développement des énergies renouvelables. En 2019, ces coûts ont été particulièrement élevés en France (+ 8,7 %) du fait d’une augmentation des prix de gros de l’électricité dans toute l’Europe ;
- l’entretien et l’amélioration du réseau électrique existant, pour assurer une meilleure qualité de service (diminution du temps de coupure quotidienne, enfouissement des lignes pour les rendre moins vulnérables aux intempéries, etc.) ;
- le financement des investissements nécessaires par les taxes, essentiellement pour réaliser la transition énergétique. L’objectif est de diminuer la quantité de CO2 dégagée en produisant l’électricité. Pour cela, il est nécessaire d’investir massivement dans les énergies renouvelables ou dans un parc nucléaire conséquent.
La hausse des prix est donc constante et bien réelle mais elle s’explique en grande partie par la nécessaire transformation du système de production électrique pour répondre aux enjeux environnementaux. Il s’agit aussi de tenir les engagements des différents pays européens en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES).
Transition énergétique et prix de l’électricité
La part des énergies renouvelables (EnR) dans le mix énergétique en France constituaient 21,5 % en 2019, dont plus de la moitié d’hydroélectricité produite par les barrages. Ce niveau est très inférieur à des pays comme l’Italie (40 %), l’Allemagne (40 %) l’Espagne (38 %) ou le Royaume-Uni (37 %).
Contrairement à la France, tous ces pays conservent une part importante de production thermique fossile (charbon, gaz, lignite…). Cela fait que leur production électrique est plus émettrice de CO2 que celle de la France. Ce mix entre énergies fossiles et énergies renouvelables a le désavantage d’être pour l’instant plus cher. On l’a dit les taxes sont plus élevées dans de nombreux pays, comme par exemple l’Allemagne.
Mais, ces taxes servent à financer la transition énergétique. En effet, suite aux accords de Paris, les pays de l’Union européenne doivent réduire leur production de CO2, principal gaz à effet de serre responsable du réchauffement climatique de 55 % à horizon 2030. Le but ? Atteindre la neutralité carbone en 2050. En vertu du Pacte Vert, selon le journal Toute l’Europe « L’Union européenne ambitionne de passer à 55 % ou 60 % d’énergies renouvelables d’ici 2030 et à 84 % d’ici 2050. »
Si cela s’entend d’un point de vue écologique, les raisons sont aussi économiques. En effet, d’un point de vue général, alors que l’électricité nucléaire et fossile tend à grimper ou rester stables en termes de prix, les énergies renouvelables tendent à baisser.
D’après le Levelized Cost Of Energy (LCOE) de la banque suisse Lazard, 1 MWh d’électricité coutait :
- 37 $ à produire via des panneaux photovoltaïques en 2020, contre 359 $ en 2009 ;
- 40 $ pour l’électricité éolienne en 2020, contre 135 $ en 2009 ;
- 167 $ avec du nucléaire en 2020, contre 123 $ en 2009 ;
- 112 $ avec du charbon en 2020, contre 111 $ en 2009.
Le recours aux énergies vertes permet donc de faire des économies dans la production d’électricité. Toutefois, deux problèmes se posent :
- celui du financement des infrastructures renouvelables. Actuellement en période de transition énergétique, coïncident le prix des nouvelles infrastructures à financer avec les prix du nucléaire qui ne font que monter. Le coût de l’énergie augmente mais pourrait baisser sur le très long terme ;
- celui du stockage de l’électricité. Si on ne peut pas atteindre un mix 100 % renouvelable, c’est aussi parce que les énergies vertes sont intermittentes. Elles ne permettent pas une production constante d’électricité. La nuit, un panneau solaire ne produit rien.
Le développement du stockage de l’énergie est donc le seul moyen de pouvoir passer à un mix 100 % vert. Pour l’instant à grande échelle, il n’a été que peu expérimenté. Aujourd’hui, Tesla monte l’un des premiers projets de batteries à échelle régionale en Australie. Commencé en 2018, le projet « Victorian Big Battery » n’est pas encore fini. Il devrait permettre de stocker 300 megawatt d’électricité.
S’informer et choisir son fournisseur
Si la hausse des prix de l’électricité en Europe est assez générale, tous les consommateurs ne l’ont pas subie avec la même intensité. En effet, avec le développement de la concurrence, de nouveaux fournisseurs d’électricité sont arrivés sur le marché. En France, selon le médiateur national de l’énergie, on en compte une trentaine aujourd’hui. Vous pouvez réaliser jusqu’à 200 € d’économies sur la facture annuelle en mettant les offres en concurrence avec notre comparateur d’électricité. Vous pouvez également vous faire accompagner par nos conseillers (appel gratuit).
De manière à allier économies et écologie, vous pouvez vous tourner vers un contrat d’électricité verte. Certains fournisseurs proposent des offres vertes grâce aux garanties d’origine (GO) qui certifient que votre consommation d’électricité correspond bien à une production d’électricité renouvelable. D’autres vont même plus loin et établissent des contrats directement avec des producteurs locaux d’électricité renouvelable.
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