Nettoyer sa VMC
Alors que l’opinion publique est de plus en plus sensibilisée à la question de la pollution atmosphérique, nous parlons beaucoup moins de la qualité de l’air en intérieur. Pourtant, la plupart d’entre nous passons la majorité de notre journée dans des espaces clos. Que ce soit au bureau ou à la maison, la ventilation adéquate d’un bâtiment est essentielle pour votre santé et votre sécurité. Aérer l’habitat en ouvrant les fenêtres ne suffit pas : l’installation d’une VMC est primordiale pour garantir le renouvellement de l’air. Pour assurer son bon fonctionnement, celle-ci doit être régulièrement nettoyée. Pourquoi et comment nettoyer une VMC ? À quelle fréquence ? Faut-il faire appel à un professionnel ? Choisir.com vous détaille les étapes à suivre pour une VMC bien entretenue.
Qu’est-ce qu’une VMC ?
Le terme VMC (Ventilation mécanique contrôlée) désigne le dispositif qui permet de renouveler l’air intérieur d’un logement. On qualifie alors l’air intérieur non renouvelé d’air vicié, c’est-à-dire de l’air impur ou pollué. Une VMC aspire l’air vicié de pièces humides (comme la salle de bains) ou de pièces où les odeurs s’accumulent (comme la cuisine ou les WC). Elle permet également l’évacuation de l’humidité, la poussière ou encore des polluants coincés à l’intérieur de votre logement.
Bien que l’installation d’une VMC ne soit pas une obligation légale en soi, l’arrêté du 24 mars 1982 impose une ventilation générale et permanente. Vous avez alors le choix d’opter pour une ventilation naturelle, ou une ventilation mécanique (comme une VMC, par exemple).
Lorsque la VMC fonctionne correctement, l’air est extrait automatiquement et remplacé par de l’air frais venant de l’extérieur. La VMC assure la ventilation du logement, grâce à un renouvellement de l’air constant.
Le principe de fonctionnement de la VMC se base sur différents éléments :
- le moteur, muni d’un ventilateur et placé dans un caisson, a pour rôle d’extraire l’air vicié pour permettre une bonne circulation de l’air ;
- les bouches d’extraction qui permettent de régler le débit d’air à extraire, en fonction des besoins spécifiques du logement ;
- des entrées d’air reliées avec l’extérieur, qui autorisent l’entrée d’air frais. Elles se trouvent généralement en hauteur des pièces de vie. Dans le cas d’une VMC double flux, il s’agit de bouches d’insufflation à la place des entrées d’air ;
- des gaines, pour la majorité des modèles (à l’exception de la VMC gaz). Celles-ci sont généralement branchées sur le caisson, qui est relié aux pièces de services par des bouches (ainsi qu’aux pièces de vie, dans le cas d’une VMC double flux).
L’idée est de remplacer l’air vicié, qui se trouve à l’intérieur de votre logement, par de l’air frais pris à l’extérieur, au niveau des entrées d’air. Cet air frais va ensuite être injecté dans les pièces de votre foyer, et circulera naturellement dans tout le logement. Ces mouvements d’air sont possibles grâce au ventilateur du caisson de la VMC.
Bien que le principe général soit assez simple, le fonctionnement d’une VMC peut varier en fonction du type d’équipement mis en place.
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Les différents modèles de VMC
Il existe sur le marché différents modèles de VMC, les plus courants chez les particuliers étant la VMC simple flux (autoréglable ou hygroréglable) et la VMC double flux (classique ou thermodynamique).
VMC simple flux
La VMC simple flux est le système de ventilation le plus répandu dans les logements individuels. Ce système permet à l’air frais extérieur de traverser d’abord les pièces de séjour et les chambres du logement, pour ensuite être évacué par les pièces de service (salle de bains, cuisine, toilettes) par un groupe d’extraction comportant un ventilateur et des gaines. L’arrivée d’air frais venant de l’extérieur se fait alors généralement via des entrées d’air sur les menuiseries ou par des bouches de soufflage dans les pièces principales. Il existe deux types de VMC simple flux : la VMC simple flux autoréglable, et la VMC simple flux hygroréglable.
La VMC simple flux autoréglable
Avec une VMC autoréglable, le débit d’air est constant et ne change pas selon les circonstances (variation du taux d’humidité, de l’occupation du logement, etc.). Ce débit est fixé lors de la conception du bâtiment, en fonction de l’usage du logement et le nombre d’habitants. Il s’agit de la solution la plus abordable pour ventiler son logement : comptez entre 400 € pour une installation dans un logement neuf, et 700 € pour un logement en rénovation.
Bien qu’économique et pratique, la VMC simple flux autoréglable présente l’inconvénient de ne pas tenir compte du taux d’humidité de l’air, que ce soit en intérieur ou en extérieur. Cela peut entraîner une surconsommation dans les moments où le taux d’humidité serait plus faible, et où un flux plus faible que celui fixé suffirait.
La VMC simple flux hygroréglable
La VMC hygroréglable fonctionne comme une VMC autoréglable, mais permet également d’avoir un débit d’air variable, régulé en fonction du taux d’humidité dans le logement. L’air très humide est évacué plus rapidement qu’avec une VMC simple flux autoréglable. Elle fonctionne aussi de façon optimisée par rapport aux besoins précis d’un logement, puisque le flux d’air s’adapte aux conditions à un moment donné. Cela peut notamment permettre de réaliser des économies d’énergie, aux moments où il y a moins d’air vicié à faire circuler. Il existe deux modèles sur le marché :
- la VMC simple flux hygroréglable A : les bouches d’extraction sont hygroréglables (c’est-à-dire ont un débit variable), alors que les entrées d’air sont autoréglables (ont un débit fixe). Seules les bouches d’extraction sont sensibles au taux d’humidité de l’air ;
- la VMC simple flux hygroréglable B : les bouches d’extraction et les entrées d’air sont toutes hygroréglables, soit à débit variable. Le débit s’adapte donc des deux côtés, en fonction du taux d’humidité dans l’air.
Une VMC hygroréglable est un bon compromis entre une VMC simple flux autoréglable, moins coûteuse mais qui peut potentiellement consommer plus d’énergie que nécessaire, et une VMC double flux, plus coûteuse mais aux nombreux avantages. Si vous souhaitez installer une VMC hygroréglable dans votre logement, comptez entre 700 € pour un logement neuf, et 1 200 € dans un logement en rénovation.
VMC double flux
La VMC double flux est, comme son nom le suggère, plus complexe qu’un système de ventilation simple flux. Comme son nom l’indique, la VMC double flux est composée de deux circuits :
- un circuit qui insuffle de l’air neuf. L’air extérieur est filtré, préchauffé puis pulsé grâce à un ventilateur dans les pièces principales de l’habitation ;
- un circuit qui récupère l’air vicié et l’évacue à l’extérieur. L’air vicié est aspiré et filtré, sa chaleur est récupérée puis transmise au circuit d’air neuf. Enfin, l’air extrait est évacué.
Elle nécessite un aménagement particulier (nécessité d’installer un réseau de conduits d’air dans le logement), et est plus coûteuse qu’une VMC simple flux. Elle consomme également plus d’électricité, du fait qu’elle possède deux ventilateurs. Il existe deux types de modèles : la VMC double flux classique, et la VMC double flux thermodynamique.
VMC double flux classique
Une VMC double flux classique est composée d’un deuxième système de gaines, qui joue le même rôle que les entrées d’air pour une VMC simple flux. Toutes les pièces de vie doivent également être équipées d’une bouche d’insufflation.
L’air entrant est préchauffé, grâce à la chaleur de l’air vicié sortant. Ce système permet de limiter largement les déperditions d’énergie. Lorsque la température intérieure est plus élevée que la température extérieure, les VMC équipées d’un échangeur statique (dit « by-pass ») peuvent rafraîchir l’air de la maison. C’est donc un système qui s’adapte aux conditions de l’air, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de votre habitation. Ce système permet également de réaliser des économies de chauffage importantes, en préchauffant l’air qui entre dans le logement, et est donc particulièrement adapté aux climats les plus froids.
Le prix d’une VMC double flux classique varie en fonction des travaux d’installation, et des frais du professionnel qui l’installe. Comptez environ entre 5 000 et 6 000 € dans le neuf, et entre 4 000 et 8 000 € en rénovation.
VMC double flux thermodynamique
Une VMC double flux thermodynamique fonctionne comme une VMC double flux classique, et est associée à une pompe à chaleur. Celle-ci permet d’avoir un renouvellement constant de l’air, tout en recyclant la chaleur interne. Niveau de chauffage et rafraîchissement du logement sont régulés par un thermostat d’ambiance, installé lors de l’installation de ce type de VMC.
Ce type de modèle procède à un échange thermique entre l’air interne et externe, grâce à un bloc échangeur « by-pass ». La pompe à chaleur permet d’obtenir de meilleures performances qu’une VMC double flux classique, au niveau de l’échange thermique.
Ce modèle de VMC est le système de ventilation mécanique contrôlé le plus performant, mais également le plus coûteux : comptez environ entre 6 500 et 10 000 € pour un logement neuf, et entre 9 000 et 15 000 € en rénovation.
La VMC gaz, un modèle à part
La VMC gaz est un modèle principalement utilisé dans les logements collectifs. Elle emprunte les mêmes réseaux pour évacuer l’air vicié et les gaz de combustion d’une chaudière ou d’un chauffe-eau. Ce type d’installation doit être contrôlée tous les 3 ans par un professionnel.
Le nettoyage d’une VMC gaz doit être réalisé par un technicien, et doit faire l’objet d’une visite annuelle. Cette opération est gérée par le syndic de copropriété, et ne sera donc pas abordée en détail dans cet article.
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faire une simulationPourquoi nettoyer sa VMC ?
À force d’utilisation, la VMC s’encrasse naturellement. Le réseau de tuyauterie ainsi que les bouches de ventilation accumulent des poussières, ainsi que des bactéries accumulées dans l’air. Cela peut entraîner de nombreux problèmes, aussi bien au niveau de l’efficacité du système que pour votre santé et sécurité. Il y a donc de nombreuses raisons de nettoyer sa VMC régulièrement.
Pour qu’elle fonctionne de façon efficace
L’installation de poussières dans votre système d’aération peut rendre les bouches d’évacuation, qui sont alors obstruées, plus bruyantes et moins efficaces. Le bruit vient du fait que le moteur doit forcer de plus en plus afin de faire circuler l’air. L’encrassement de votre VMC va également l’user de manière prématurée, et accélérer l’obsolescence du système de ventilation. Le fonctionnement sera moins performant, ce qui pourra se faire ressentir sur votre facture d’électricité, puisque votre VMC consommera plus d’énergie.
Pour votre santé et sécurité
L’encrassement de votre système de ventilation mécanique contrôlée peut mener au développement de bactéries néfastes pour votre santé, surtout pour les personnes ayant un système respiratoire plus sensible. Ces bactéries peuvent également être à l’origine d’odeurs désagréables dans votre logement.
Une installation empoussiérée risque également de surchauffer, pouvant aller jusqu’à provoquer un court-circuit, voire un incendie. Il est donc primordial de nettoyer sa VMC, pour assurer la sécurité et la santé des habitants de votre logement.
Pour préserver votre logement
Une VMC peu efficace peut entraîner un risque de moisissure et de champignons dans votre logement. En plus du risque pour votre santé, cela peut également dégrader votre bâtiment, causant des dégâts non négligeables sur le long terme. Vous pourrez être amenés à réaliser des travaux supplémentaires afin de remédier à ces problèmes de moisissure.
Pour réaliser des économies
Une VMC mal entretenue se met en route plus souvent et plus longtemps que nécessaire, ce qui crée des dépenses d’énergie inutiles. Au contraire, une VMC bien entretenue fonctionne de manière optimale, ce qui limite les déperditions d’énergie lors de son fonctionnement. Cela permet de réaliser des économies d’énergies sur votre facture d’énergie : jusqu’à 25 % pour une VMC double flux.
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Comment nettoyer une VMC ?
Nettoyer sa VMC consiste essentiellement à dépoussiérer l’ensemble du système, afin d’éviter toute accumulation d’humidité et de polluants, et de faciliter la circulation de l’air. Il s’agit d’une opération d’entretien simple, qui peut néanmoins se complexifier pour certains modèles de VMC (lorsqu’il faut dépoussiérer des tuyaux par exemple).
Avant de vous lancer dans le nettoyage de votre VMC, n’oubliez pas de couper le courant, les VMC étant alimentées par de l’électricité. C’est le seul moment où il convient d’éteindre une VMC, qui en temps normal doit rester alimentée afin d’éviter une accumulation de poussière.
Il convient de retirer chaque élément de votre VMC délicatement, afin de pouvoir les décrasser et les nettoyer en profondeur. Nous vous expliquons comment nettoyer sa VMC pièce par pièce.
Nettoyer les bouches d’extraction
Nous vous conseillons de commencer par nettoyer les bouches d’extraction de vos pièces. Ce sont les éléments les plus exposés à la poussière et aux autres éléments, et leur empoussièrement peut entraîner un dysfonctionnement de votre VMC. C’est une opération que vous pouvez réaliser vous-même, dont voici les étapes :
- déclipsez la grille frontale, puis nettoyez les volets des bouches d’extraction avec de l’eau chaude et du liquide vaisselle, ou passez-les au lave-vaisselle. Attention, les tresses des bouches hydroréglables ne doivent pas être mouillées ;
- nettoyez les bouches fixes à l’aide d’un chiffon ;
- vérifiez le bon fonctionnement des bouches d’extraction en approchant une feuille de papier WC par exemple : si celle-ci se plaque contre la bouche, c’est qu’elle fonctionne normalement ;
- vérifiez le fonctionnement du dispositif « grand débit » de la cuisine, en l’activant ;
- pensez à changer les piles de certaines bouches dotées de détecteurs de présence, ou de bouches contrôlées par des télécommandes ;
- une fois le nettoyage terminé, rincez les bouches nettoyées à l’eau, essuyez-les puis replacez-les dans leurs emplacements.
Nettoyage des entrées d’air
À l’aide d’un aspirateur ou d’un chiffon, dépoussiérez les entrées d’air extérieures afin d’éviter tout risque d’obstruction. Si vous êtes amenés à retirer les capots des entrées d’air, assurez-vous de bien les replacer dans le bon sens, afin que l’air sorte toujours vers le haut. Si vous possédez une VMC double flux, il faudra dégraisser les filtres et les remplacer au besoin, environ tous les 6 mois.
Nettoyage des filtres des VMC double flux
Les filtres des VMC double flux sont à remplacer régulièrement, environ une à deux fois par an. Ceux-ci accumulent énormément de poussières, pollens, etc. qui peuvent nuire au bon fonctionnement de votre installation. L’encrassement risque d’être plus rapide pour les logements en zone urbaine, pensez donc à les changer régulièrement si vous êtes concernés. Si les membres de votre foyer sont sensibles aux pollens, nous vous conseillons également de changer les filtres après la saison des pollens.
Nettoyer les gaines
Le nettoyage des conduits de votre VMC sera plus ou moins aisé. Nous vous conseillons plutôt de faire appel à un professionnel qui pourra, en plus de l’entretien, procéder au contrôle du maintien des gaines, et du caisson bloc-moteur, afin de s’assurer que tout est en bon état de marche. Si toutefois vous souhaitez réaliser l’opération vous-même, voici les étapes à suivre :
- désolidariser les gaines du bloc-moteur ;
- aspirer les poussières. Si les amas poussiéreux sont importants, vous pourriez avoir à utiliser un flexible ;
- désinfecter les gaines ;
- et enfin, les remettre en place sur le caisson.
Nettoyage du moteur de votre VMC
Le moteur est l’élément principal de votre installation de ventilation, il est donc important de le nettoyer régulièrement afin d’assurer un fonctionnement optimal de votre VMC. L’accès au moteur étant plus ou moins aisé selon les modèles, nous vous conseillons de faire appel à un professionnel pour cette étape de l’entretien de votre VMC.
Il conviendra de commencer par démonter le moteur en partie, et d’ouvrir le capot du moteur, ce qui exposera les ailettes. Si celles-ci sont empoussiérées, elles doivent être nettoyées à l’aide d’un aspirateur, ou d’une brosse. La roue du moteur quant à elle peut être nettoyée à l’aide d’un chiffon humide.
Quand faut-il nettoyer sa VMC ?
La fréquence à laquelle il convient de nettoyer sa VMC varie d’élément en élément, allant de tous les 3 mois pour les bouches d’extraction, à tous les 10 ans pour les gaines. Dans l’ensemble, vous pouvez nettoyer le système entier au moins une fois par an.
Votre VMC est particulièrement sollicitée en hiver, lorsque les différences de température entre l’intérieur et l’extérieur de votre maison sont plus importantes. Nous vous conseillons donc de procéder à votre nettoyage annuel au printemps, après cette période de forte activité.
Le contrôle de l’installation est obligatoire pour les VMC gaz (certains éléments doivent être changés et nettoyés tous les ans, l’installation doit être contrôlée et nettoyée entièrement tous les 5 ans), mais pas pour les autres modèles. Bien qu’il n’existe pas d’obligation à faire nettoyer sa VMC, il est recommandé de faire intervenir un professionnel tous les 2 à 3 ans, afin de contrôler que la ventilation fonctionne correctement.
Faire appel à un professionnel
Nettoyer une VMC est une opération relativement simple, qui peut être réalisée par un particulier. Il reste cependant vivement conseillé de faire appel à un professionnel tous les 2 à 3 ans environ, afin de réaliser un entretien et contrôle complet de l’installation (nettoyage, vérification de différents composants, etc.).
C’est le chauffagiste ou frigoriste qui est chargé de l’entretien de votre VMC. Vous pouvez également faire appel à l’entreprise qui a posé votre VMC, et qui sera en mesure de réaliser ce contrôle. Les tarifs d’une intervention d’entretien de VMC varient en fonction du modèle, ainsi que des prestations demandées. En moyenne, comptez entre 130 € (pour une VMC simple flux) et 300 € (pour une VMC double flux) pour l’entretien complet d’une VMC.
Vous pouvez également faire appel à un professionnel en cas de panne. Les pannes sont généralement causées par un moteur, des hélices ou conduits bouchés. Il convient de régler ce problème le plus rapidement possible, afin de restaurer une ventilation correcte au sein de votre logement. L’intervention d’un technicien pour une réparation de VMC peut coûter entre 90 et 500 € selon l’opération et le professionnel.
Quelle que soit l’opération d’entretien à réaliser, nous vous conseillons de faire appel à un professionnel certifié RGE. Vous pouvez faire une recherche par commune, code postal ou département directement sur l’annuaire des professionnels et entreprises certifiés RGE.
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