La consommation de gaz en France

Pour tous ceux qui sont concernés, la consommation de gaz a un impact direct sur les factures d’énergie. Cette ressource permet notamment de se chauffer, d’avoir de l’eau chaude sanitaire ou encore de faire fonctionner des appareils de cuisson. Le gaz vient en complément de l’électricité qui sert à l’éclairage et à l’alimentation des équipements utilisant cette énergie. Dans cet article, nous allons faire le point sur la consommation de gaz des ménages français. Quelles quantités de combustible sont utilisées et comment réduire les besoins pour faire des économies ? Choisir.com fait le point avec vous.

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Les chiffres de la consommation de gaz des ménages

La consommation de gaz naturel en France est calculée chaque année par la CRE (Commission de régulation de l’énergie), mais aussi par le SDES (Service des données et études statistiques). Les résultats obtenus permettent notamment d’évaluer les besoins des bâtiments raccordés au réseau. La consommation de gaz des Français fait également état de la dépendance du pays à cette source énergétique qui est intégralement importée. Découvrons les chiffres clés du gaz naturel.

Consommation brute, corrigée ou réelle : 3 notions à comprendre

Lorsque l’on parle de la consommation de gaz (ou d’électricité), 3 notions reviennent souvent. On peut ainsi dire que la consommation est brute, corrigée des aléas climatiques ou réelle. Découvrez les différences entre ces termes.

La consommation brute, une valeur qui ne prend pas en compte les pertes

Le gaz est une ressource qui peut s’évaporer et s’échapper au cours de son acheminement, de son stockage ou de sa distribution. Cela est dû à son état gazeux. Par exemple, sur les lieux de stockage, des « torchères » brûlent le gaz qui s’évapore (la combustion est moins polluante et moins dangereuse que laisser le gaz s’échapper dans l’atmosphère). La consommation brute de gaz ne prend pas en compte ces pertes.

Qu’est-ce qu’une consommation corrigée des variations climatiques ?

Chaque année, la météo influe sur les habitudes de consommation. Plus les hivers sont froids, plus les besoins en chauffage augmentent. Tous les hivers ne se ressemblent pas et, pour analyser les évolutions des besoins en gaz, la consommation est « corrigée des variations climatiques ». Cela signifie que les analyses retiennent des températures « normales » (les grands froids exceptionnels ne sont pas pris en compte). Ceci permet d’avoir un résultat homogène d’une année sur l’autre.

La consommation réelle de gaz : un indicateur précis

Dernier terme à connaître, celui de la consommation réelle de gaz. Il s’agit là de la quantité qui a été véritablement utilisée par le client consommateur, en prenant en compte les pertes. Ces données vont notamment servir au moment de la facturation.

Là encore, les résultats obtenus servent à définir les besoins en gaz. Cependant, les fournisseurs n’utilisent pas les données réelles pour commander le combustible, car les pertes peuvent être aléatoires. Dans ce cas, c’est la consommation brute qu’ils retiennent.

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Quelle est la consommation totale de gaz en France ?

En 2020, la consommation totale de gaz corrigée des variations climatiques s’est élevée à 494 TWh PCS (1 milliard de kWh en pouvoir calorifique supérieur). Le PCS correspondant à la quantité d’énergie thermique libérée par la combustion complète d’un kilogramme (unité de masse) ou d’un normo mètre cube (Nm3 qui est une unité de volume) de gaz naturel. Ces chiffres ont été communiqués par le Service des données et études statistiques (SDES).

Cette quantité de gaz a été utilisée par différents secteurs :

  • le résidentiel (les logements des clients particuliers) ;
  • l’industrie ;
  • la production d’électricité et de chaleur grâce aux centrales thermiques au gaz (à cycle combiné ou à turbines à combustion) ;
  • le tertiaire (commerces, bureaux, etc.) ;
  • la branche énergie pour des usages internes ;
  • l’agriculture ;
  • les transports (comme par exemple les bus qui fonctionnent au GNL, du gaz naturel liquéfié.) ;
  • etc.

Les secteurs du résidentiel, de l’industrie, de la production d’électricité et du tertiaire sont les 4 plus gros consommateurs de gaz en France.

Le secteur résidentiel, le plus gros consommateur de gaz naturel

Avec une part s’élevant à 31 % de la consommation totale (corrigée des variations climatiques), le secteur résidentiel (clients particuliers) est le plus gros utilisateur de gaz naturel en France. L’industrie est derrière avec 28 %. La production d’électricité et de chaleur a consommé 19 % de la totalité du gaz utilisé, tandis que le secteur tertiaire a eu besoin de 17 %.

Les particuliers utilisent le gaz pour :

  • le chauffage qui occupe une part d’environ 81,5 % de la consommation de gaz ;
  • la production d’eau chaude sanitaire qui représente près de 11,5 % de la consommation totale de gaz d’un foyer ;
  • la cuisson dont la part s’élève à environ 7 % des besoins d’un logement.

La cuisson au gaz n’est pas choisie par tous les clients résidentiels. En effet, certains préfèrent utiliser une plaque de cuisson électrique (à induction ou vitrocéramique).

La consommation de gaz d’un ménage sur une année

Au cours d’une année, la consommation moyenne de gaz d’un ménage français s’élève à 11 187 kWh (données CRE). Ce chiffre est utilisé à titre indicatif et peut sensiblement varier selon :

  • l’usage du gaz (chauffage + eau chaude + cuisson ou seulement le chauffage ou seulement la cuisson, etc.) ;
  • la superficie du logement et le nombre de pièces à chauffer ;
  • le nombre d’occupants des lieux (un couple sans enfant est supposé consommer moins d’énergie qu’une famille de 4 personnes, par exemple) ;
  • la qualité de l’isolation du bâtiment ;
  • les performances énergétiques des équipements (chaudière, chauffe-eau, etc.) ;
  • les habitudes de consommations ;
  • la présence d’un thermostat d’ambiance qui régule automatiquement le chauffage, selon la température intérieure désirée.

Un nombre d’abonnés à des offres de gaz en baisse

Pour consommer du gaz naturel, il est nécessaire de souscrire un abonnement auprès d’un fournisseur d’énergie.

La CRE a publié un observatoire sur les marchés de détail du gaz qui fait état de 10 719 000 sites résidentiels raccordés au gaz naturel en France. Ce chiffre a été constaté au 31 mars 2021. Au 31 décembre 2020, 10 723 000 sites résidentiels étaient raccordés au réseau de gaz naturel. En 3 mois, 4000 logements ont stoppé leur abonnement au gaz, pour passer à l’électricité ou pour d’autres raisons.

Bien que le gaz soit toujours plébiscité pour le confort d’utilisation qu’il offre, plusieurs facteurs poussent les clients à privilégier l’électricité :

  • le prix du gaz est impacté par le conflit qui oppose la Russie à l’Ukraine (la fédération russe est un grand producteur de gaz naturel) depuis le début de l’année 2022 ;
  • la nouvelle norme environnementale RE 2020 n’encourage pas vraiment l’utilisation du gaz naturel dans les logements neufs ;
  • le réseau de gaz naturel ne dessert pas toutes les zones du territoire de la France métropolitaine, contrairement à l’électricité.

Pour les clients qui n’ont pas accès au réseau, il est possible d’utiliser du gaz en achetant du butane ou du propane. Il s’agit là de gaz de pétrole liquéfiés (GPL) conditionnés en bouteilles ou en citernes (uniquement pour le propane). Ce combustible sert à alimenter les mêmes équipements que ceux utilisant du gaz naturel (un raccordement spécifique est nécessaire). L’association France Gaz Liquides est l’acteur de référence en France pour la filière du GPL.

Une installation au fioul peut aussi être une alternative au gaz naturel lorsque vous n’êtes pas raccordé au réseau de distribution. Cependant, entre le fioul et le gaz, il est préférable d’opter pour le second. En effet, bien qu’étant tous les deux des hydrocarbures d’origine fossile, le fioul est un combustible polluant (plus que le gaz). Par ailleurs, depuis le 1er juillet 2022, l’installation des chaudières au fioul (aussi appelé mazout) est interdite.

Tous ces facteurs qui influent sur la consommation de gaz

Dans un logement, plusieurs éléments ont un impact sur votre consommation. Les voici.

Quels appareils pèsent sur la consommation de gaz à la maison ?

La consommation de gaz est directement liée à l’utilisation d’appareils alimentés grâce à cette source d’énergie. Les voici :

  • une chaudière au gaz reliée au système de chauffage et de production d’eau chaude sanitaire ;
  • un chauffe-eau, utilisé pour avoir de l’eau chaude ;
  • une plaque de cuisson avec des foyers au gaz ;
  • d’autres appareils de cuisson tels qu’une gazinière, une plancha, un four, etc.

Dans un logement, le chauffage peut également être généré à l’aide d’une pompe à chaleur au gaz (ou GHP pour Gas engine Heat Pump). Cet équipement est cependant moins installé que les pompes à chaleur fonctionnant à l’électricité.

Afin de réduire les besoins en gaz, il est important de s’équiper avec des appareils performants, comme une chaudière basse consommation. Cet équipement est l’un des plus efficaces et économes actuellement sur le marché.

La superficie des lieux impacte la consommation de gaz

Le chauffage au gaz est le poste qui consomme le plus de combustible dans un logement. Les besoins influent directement sur la consommation qui dépend essentiellement de la surface des lieux. En effet, plus la maison ou l’appartement est grand, plus il faut le chauffer.

Par ailleurs, le fait qu’il y ait un étage dans le logement va également faire augmenter la facture. Il est en effet nécessaire de chauffer plus longtemps afin que la chaleur gagne toutes les pièces de la maison.

Le type d’habitation, maison ou appartement, détermine également la consommation de gaz naturel. Les appartements sont souvent plus petits et grâce à la mitoyenneté avec d’autres logements, ils « profitent » de la chaleur voisine, tandis que les déperditions thermiques sont moindres (à condition que le logement d’à côté soit chauffé et bien isolé).

Le nombre d’habitants du logement joue sur la quantité de gaz utilisée

Le nombre d’occupants dans un logement multiplie :

  • le nombre de pièces à chauffer ;
  • le nombre de douches prises au quotidien ;
  • le temps de cuisson des aliments à cause des quantités qui sont plus grandes.

Ainsi, un couple sans enfant est supposé consommer moins de gaz qu’une famille de 6 personnes, par exemple. Ceci est vrai si la taille du logement est en adéquation avec les besoins réels des personnes prises en exemple.

L’isolation du logement : un point important pour votre consommation de gaz

L’isolation d’un bien a une grande influence sur sa consommation de gaz. En effet, le chauffage étant le plus gros poste de dépense de gaz, une isolation performante va réduire les besoins d’allumer la chaudière.

Au contraire, dans un logement mal isolé, les déperditions thermiques vont entraîner un grand inconfort qui se traduira par des radiateurs poussés à pleine puissante et donc à des dépenses supplémentaires.

Le tableau qui suit vous donne une idée de la consommation de gaz d’un appartement et d’une maison présentant les mêmes caractéristiques avec seulement le niveau d’isolation qui change (l’estimation est approximative) :

Type de logement et surfaceQualité de l’isolationNombre de personnes occupant les lieuxConsommation moyenne de gaz en kWh
Appartement de 60 m²Mauvaise2 personnes8600 kWh
Appartement de 60 m²Performante2 personnes2000 kWh
Maison de 120 m²Mauvaise4 personnes14 745 kWh
Maison de 120 m²Performante4 personnes3500 kWh
Source : Gaz Tarif Réglementé

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Comment est calculée votre consommation de gaz ?

Vous n’êtes pas le seul à vous soucier de votre consommation de gaz qui aura des répercussions sur votre facture. En effet, votre fournisseur d’énergie lui aussi s’intéresse de près à vos besoins en gaz.

Gazpar, le compteur de gaz nouvelle génération

Avant de chiffrer votre consommation de gaz, votre fournisseur a besoin de la quantifier. Pour cela, tous les clients abonnés disposent d’un boîtier de comptage. Il peut s’agir d’un :

  • compteur mécanique traditionnel ;
  • boîtier Gazpar, un modèle communicant qui remplace peu à peu les anciens dispositifs.

Cet appareil installé en bordure de propriété permet d’être raccordé au réseau de distribution du gaz naturel. En allumant vos équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire, le boîtier va compter votre consommation (ou plus exactement le volume de gaz utilisé). Ces données seront récupérées par le fournisseur afin d’établir une facture. La relève peut être physique avec les compteurs mécaniques et à distance avec Gazpar.

Qu’est-ce que la Consommation annuelle de référence (CAR) ?

La consommation annuelle de référence est une donnée qui se trouve sur votre facture de gaz naturel. Selon Engie, elle « correspond à la quantité de gaz, en kWh, que votre fournisseur estime suffisante pour votre foyer pendant un an dans des conditions climatiques moyennes. Elle est propre à chaque utilisateur du réseau GRDF ».

Cette donnée va permettre d’estimer votre consommation de gaz sur l’année. Elle aidera votre fournisseur à définir le montant de votre mensualisation, par exemple.

La CAR permet aussi à la compagnie de fourniture de gaz que vous avez choisi d’estimer vos besoins futurs afin de commander une quantité de combustible suffisante. Le gaz naturel étant stocké, le fournisseur peut ainsi faire venir jusqu’en France les quantités de combustible qu’il lui faut afin de faire des réserves et de profiter de prix intéressants.

Du mètre cube au kilowattheure, comment est calculée la consommation de gaz ?

Vous avez peut-être remarqué que votre compteur de gaz affiche des données en m3 (mètres cubes) et que votre facture indique une consommation en kWh (kilowattheures).

L’état gazeux du combustible nécessite un comptage de son volume qui peut varier avec l’altitude, la température ambiante ou encore la pression de livraison.

Pour passer du mètre cube au kilowattheure, le fournisseur de gaz naturel utilise le coefficient de conversion. Ce dernier varie d’une ville à l’autre afin de prendre en compte les caractéristiques du lieu de livraison (altitude, type de gaz, etc.).

Le coefficient de conversion est différent de la classe de consommation du gaz ou de la zone tarifaire. Toutefois, c’est l’une des composantes qui permet de définir la tarification du combustible pour chaque client.

Comment réduire efficacement la consommation de gaz ?

Diminuer la consommation de gaz va permettre de réduire le montant de vos factures.

Halte à la surconsommation de gaz

Une surconsommation de gaz naturel désigne une consommation supérieure à vos besoins réels (selon le type et le nombre d’équipements, mais aussi la composition du foyer ou la surface de votre habitation).

Lorsque vous souscrivez un contrat de gaz, votre fournisseur va définir votre classe de consommation en fonction de vos besoins : chauffage, eau chaude sanitaire et/ou cuisson. Selon l’ancienneté de vos appareils, du nombre de personnes dans le logement, de la qualité de l’isolation et de la superficie des lieux, votre opérateur pourra alors évaluer vos besoins en combustible. Il s’agit de votre profil gaz.

Si votre consommation réelle dépasse la moyenne qui a été estimée, il est possible que vous utilisiez plus de gaz qu’il n’en faut pour vous chauffer, avoir de l’eau chaude et/ou cuisiner.

Ces besoins excessifs pèsent inévitablement sur les factures. Ils sont souvent dus à :

  • une isolation défaillante ou de mauvaise qualité ;
  • de mauvaises habitudes de consommation : votre chauffage est trop fort, vous pouvez le diminuer sans négliger votre confort thermique ;
  • des appareils vétustes ou présentant de mauvaises performances énergétiques (il peut s’agir de la chaudière, du chauffe-eau ou encore des radiateurs) ;
  • une chaudière au gaz qui n’est pas entretenue régulièrement (un entretien est obligatoire tous les ans) ;
  • des pièces inoccupées qui sont surchauffées ;
  • une mauvaise aération ou ventilation du logement qui occasionne de l’humidité qui va alors donner envie de monter la température du chauffage ;
  • Etc.

Pour mettre en évidence tous les points qui induisent une surconsommation dans votre logement, vous pouvez demander un audit énergétique.

Refaire l’isolation pour réduire la consommation de gaz

Nous l’avons évoqué au cours de l’article, l’isolation joue un rôle primordial sur la consommation de gaz d’une maison ou d’un appartement. Un logement peu ou mal isolé va laisser échapper la chaleur en hiver. Le froid va également pénétrer à l’intérieur par les ponts thermiques qui sont souvent nombreux lorsque l’isolation n’est pas assez performante.

Un logement bien isolé va quant à lui retenir la chaleur à l’intérieur et empêcher les entrées d’air froid. Vous aurez moins besoin de chauffer les lieux, tandis que votre confort thermique sera amélioré.

Une isolation doit être couplée à une bonne ventilation afin de régénérer l’air qui peut être chargé en humidité. Celle-ci est due à l’activité humaine dans le logement (douches, vapeur de cuisson, respiration, etc.). Installer une VMC et refaire l’isolation sont deux types de travaux de rénovation qui réduiront votre consommation de gaz, et donc vos factures.

Si vous avez la sensation d’avoir la peau humide et d’avoir froid chez vous en hiver, cela peut indiquer un taux d’humidité trop élevé qui résulterait d’une isolation et/ou d’une ventilation inefficaces.

Des habitudes qu’il peut être nécessaire de changer

Vous avez tendance à régler votre thermostat trop fort, à ne pas aérer votre intérieur tous les jours ou à oublier l’entretien de votre chaudière ? Voilà autant de mauvaises habitudes qui vont peser sur votre consommation de gaz.

Pour rappel, l’Ademe recommande une température intérieure de 19 °C dans le salon, le séjour et la cuisine. Pour les chambres, 16 °C suffisent la nuit comme le jour. Dans la salle de bain occupée, le chauffage peut être réglé sur 22 °C et être baissé à 17 °C lorsque vous n’utilisez pas cette pièce. Ces températures conseillées permettent non seulement de réduire votre consommation de gaz, mais aussi de diminuer votre impact écologique en utilisant votre moyen de chauffage. Ces indications sont considérées comme « idéales » dans un logement bien isolé et suffisamment ventilé.

Du côté de l’aération des pièces, 10 à 15 minutes par jour permettront de renouveler l’air, même en hiver. Cela chassera l’humidité et viendra en complément du système de ventilation.

Enfin, l’entretien de la chaudière permet de vérifier les performances de votre équipement. Le professionnel qui procède à la révision vérifiera les organes majeurs de votre appareil. Cette procédure permet de prévenir les pannes coûteuses et souvent dérangeantes lorsqu’elles vous privent de chauffage et/ou d’eau chaude.

La consommation de gaz préoccupe la majorité des utilisateurs de ce combustible qui sert à se chauffer, avoir de l’eau chaude et/ou cuisiner. La maîtriser est la seule solution pour réduire vos factures de gaz naturel. Si vous jugez que vous payez votre combustible trop cher ou que votre fournisseur ne vous apporte pas les services dont vous avez besoin, n’hésitez pas à utiliser notre comparateur d’offres de gaz. Vous verrez ainsi qui est l’opérateur le moins cher et celui dont la formule vous convient le mieux.

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