Pourquoi et comment aérer sa maison ?
Cela peut paraître surprenant mais l’air de nos intérieurs est plus pollué que l’air extérieur, la faute aux produits d’entretien, matériaux de construction et autres objets du quotidien. Pour améliorer la qualité de l’air de nos logements, il est indispensable de les aérer au quotidien. Un logement bien aéré, c’est aussi un logement plus facile à chauffer ou à climatiser et des économies d’énergie à la clé. Dans cet article nous découvrirons toutes les raisons pour lesquelles il est important d’aérer nos intérieurs. Nous vous livrerons également quelques conseils pour aérer efficacement votre logement et conserver un air intérieur de bonne qualité en toute saison.
Pourquoi aérer la maison ?
Diminution de la pollution, lutte contre l’humidité ou encore économie d’énergie, aérer son logement a de multiples bienfaits.
Chasser la pollution intérieure
14 heures par jour, c’est le temps que nous passons en moyenne dans notre domicile. Et même si vous êtes un as du ménage, la pollution de l’air est un fléau auquel on ne peut couper. En effet, moquettes, tapis, peintures murales, objets de décoration, vêtements, fenêtres en PVC diffusent en permanence ce que l’on appelle des Composés organiques volatils (COV) qui viennent polluer notre air intérieur. Produits ménagers et même parfums d’ambiance ou bougies parfumées peuvent aussi dégager des substances nocives.
Dans un guide édité par l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES), on apprend que certains polluants présentent une concentration jusqu’à 15 fois plus importante à l’intérieur qu’à l’extérieur.
Ces composés peuvent être à l’origine de maux de tête, de fatigue, de toux, d’écoulements nasaux, ou encore d’allergies. Des COV comme le formaldéhyde que l’on trouve dans la colle de moquette ou le benzène présent dans la peinture ou les détergents sont encore plus alertant. Ils sont en effet classés comme substances cancérogènes pour l’homme par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) !
Prévenir les problèmes liés à l’humidité
En l’absence d’aération, l’humidité a tendance à s’installer dans la maison. Et même si cela peut paraître paradoxal, nos logements de mieux en mieux isolés et étanches à l’air peuvent être plus qu’avant sujets aux problèmes d’humidités. À terme, de la moisissure peut apparaître sur les murs, les sols ou les plafonds d’un logement sous la forme de taches vertes ou noirâtres. L’humidité peut avoir des conséquences sur la santé avec notamment des irritations des voies respiratoires. Les moisissures, quant à elles, peuvent provoquer des réactions allergiques et présentent même parfois un risque toxique. Elles peuvent ainsi être à l’origine de développements de maladies des voies respiratoires (sinusites, d’asthme, bronchiolites…), d’irritations des muqueuses, apparition de douleurs musculaires, maux de tête, yeux rouges, démangeaisons. Les problèmes d’humidité sont particulièrement présents dans des pièces comme la salle de bains ou encore la cuisine.
Pour se débarrasser des mauvaises odeurs
Odeurs de cuisine, d’animaux, de tabac, de W.-C. envahissent parfois la maison de manière tenace. Pour les éliminer, rien de tel qu’une bonne séance d’aération. Sachez qu’on estime généralement que 10 minutes fenêtres grandes ouvertes suffisent à renouveler la totalité de l’air d’une pièce.
Pour faire des économies d’énergie
L’aération de la maison permet d’assainir l’air mais aussi de mieux maîtriser la température du logement et de faire des économies sur ses factures d’énergie, hiver comme été. Un bon système de ventilation, comme une VMC double flux, peut même vous faire économiser jusqu’à plusieurs centaines d’euros par an en préchauffant l’air extérieur qui entre dans votre logement pour le ventiler : un gain d’énergie considérable !
En été
Aérer aux heures les plus fraîches a pour action de laisser entrer de l’air frais à l’intérieur faisant naturellement tomber la température au sein de l’habitation. Cette action simple permet alors de limiter l’utilisation de l’air conditionné et donc de diminuer les dépenses en électricité. La nuit ou le matin sont les périodes les plus propices pour faire entrer à l’intérieur du logement un maximum d’air frais.
En hiver
Aérer en hiver peut paraître moins évident, c’est pourtant tout aussi crucial que l’été pour améliorer la qualité de l’air et faire des économies d’énergie. En effet, c’est à cette période de l’année que le taux d’humidité est le plus important dans une maison, et ce notamment du fait de l’activité humaine qui se déroule davantage à l’intérieur (bain chaud, lessive, cuisson des repas). Il se trouve aussi que l’air humide est plus difficile à chauffer. Pour atteindre un même confort thermique, il vous faudra dépenser plus d’énergie dans un logement humide que dans un intérieur sec.
Néanmoins, pour éviter d’importantes déperditions de chaleur, attendez les heures les plus douces pour aérer votre logement en hiver en ouvrant les fenêtres, en milieu de journée de préférence.
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faire une simulationQuelles économies d’énergie peut-on réaliser en ventilant correctement son logement ?
Aérer son logement en ouvrant les fenêtres permet de réguler l’humidité à moindres frais de l’air intérieur de son logement. Un air ni trop sec, ni trop humide étant plus facile à chauffer ou à climatiser, c’est un bon moyen de faire quelques économies d’énergie. Néanmoins, les gains demeurent toutefois modestes avec cette méthode d’aération basique. En revanche, si vous équipez votre logement d’un système de ventilation mécanique pour aérer votre logement en continu, les économies réalisées sur vos factures d’énergie peuvent être conséquentes :
- jusqu’à 10 % pour les systèmes les plus simples, comme les VMC simple flux ;
- jusqu’à 30 % et plus pour les systèmes les plus performants, comme les VMC double flux thermodynamiques.
À titre d’exemple, pour une maison de 100 mètres carrés construite au centre de la France, moyennement isolée, consommant environ 1 000 euros TTC de gaz par an pour se chauffer, la pose d’une bonne VMC peut faire baisser cette facture à moins de 700 euros TTC. Une fois le coût des travaux d’installation amorti, vous êtes gagnant sur toute la ligne : l’air est plus sain, moins humide, vous respirez mieux et vous dépensez moins ! Notez que la consommation électrique d’une VMC est relativement faible, à condition toutefois de bien la nettoyer.
Comment aérer son logement de manière efficace ?
Améliorer la qualité de l’air intérieur peut se faire de façon simple en adoptant quelques bonnes habitudes.
Aérer la maison quotidiennement en ouvrant les fenêtres
Ouvrir chaque jour les fenêtres de son logement est un moyen imparable pour renouveler l’air intérieur. En quelques minutes seulement, l’air extérieur va rentrer dans la maison chassant de fait l’air pollué. Aucune pièce ne doit être oubliée et une attention toute particulière doit être apportée aux pièces humides comme la salle de bains ou la cuisine afin d’éliminer les vapeurs d’eau qui s’y trouvent. L’opération ne doit pas forcément durer longtemps. 10 minutes par jour suffisent à renouveler l’air intérieur.
En hiver, ne vous inquiétez pas pour vos factures de chauffage. La courte durée de l’action ne laissera pas le temps au logement de se refroidir et l’air froid que vous ferez entrer se réchauffera vite. Pensez tout de même couper vos radiateurs ou à les mettre sur position hors gel pour qu’ils ne chauffent pas inutilement.
Dernier conseil, pour une aération efficace, ouvrez les fenêtres en grand. Simplement les entrebâiller n’est pas suffisamment efficient et vous obligerait à les laisser plus longtemps ouvertes pour obtenir un résultat optimal. Les murs auraient alors le temps de se refroidir et pour revenir à une température intérieure correcte, vous auriez à consommer jusqu’à 16 % de plus d’énergie.
Quand faut-il aérer son logement ?
L’idéal pour aérer une maison est de le faire à des heures où l’activité humaine extérieure est faible. C’est particulièrement vrai en ville. Ce serait dommage de remplacer la pollution intérieure par la pollution extérieure. On évite donc d’ouvrir ses fenêtres entre 14 h et 18 h, voire entre 11 h et 17 h en été. L’idéal est de le faire entre 8 h et 11 h ou 22 h et minuit.
En plus d’aérer votre maison de manière quotidienne, il est également primordial de le faire à l’occasion de certaines activités particulières :
- si vous venez de bricoler ou de réaliser des travaux, aérer permet d’éliminer la poussière et les traces d’éventuels produits chimiques (solvant, vernis, cires…) et de matériaux de construction (laine de verre, de roche…) en suspension dans l’air ;
- après une douche, pensez à aérer pour évacuer l’humidité ;
- après l’utilisation de produits ménagers, il est important d’aérer pour supprimer les résidus de produits chimiques en suspens dans l’air ;
- si vous souhaitez vous débarrasser des odeurs de cuisine.
L’aération des pièces sans fenêtre
Il arrive que dans un logement certaines pièces ne soient pas équipées de fenêtres. C’est souvent le cas des salles de bains ou encore des toilettes, pièces qui pourtant sont les plus sujettes à l’humidité et aux problèmes d’odeurs. Dans ces pièces, il va alors falloir privilégier l’installation d’une ventilation mécanique qu’elle soit contrôlée (VMC), par insufflation (VMI) ou répartie (VMR). Opérant de jour comme de nuit, ce système se chargera de renouveler l’air de la pièce en permanence. C’est pourquoi on ne parlera alors plus d’aération, mais de ventilation.
Un système de ventilation est idéal pour renouveler l’air des pièces démunies de fenêtre, mais il peut également s’avérer très utile pour l’ensemble du logement afin d’améliorer la qualité de l’air ambiant sans avoir à ouvrir régulièrement les fenêtres pour aérer.
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faire une simulationQuel système de ventilation privilégier pour aérer votre logement ?
Bien aérer son logement ne suffit pas toujours à conserver un air intérieur agréable, ni trop sec, ni trop humide. La mise en place d’un système de ventilation pour brasser l’air ou pour le renouveler automatiquement permet de prévenir les problèmes d’humidité qui peuvent provoquer l’apparition de traces de condensation ou de moisissures sur les murs. Cela vous dispense également d’avoir à ouvrir quotidiennement vos fenêtres pour conserver un air sain chez vous.
Si l’investissement de départ peut parfois être conséquent, l’installation d’un système de ventilation pour bien aérer votre logement peut également vous permettre de faire d’importantes économies d’énergie. En fonction de la configuration de votre logement et de votre budget, il existe différentes solutions pour ventiler efficacement l’air de vos pièces. Nous les avons classées ci-dessous de la plus simple à la plus élaborée.
Les bouches d’aération
La pose de simples bouches d’extraction à travers les murs de votre logement est un premier moyen facile et peu coûteux de ventiler votre logement sans investir dans un système mécanique. Ces entrées d’air permettent de créer naturellement une circulation d’air au sein du logement. Leur efficacité est néanmoins limitée. En cas de faibles températures, elles peuvent également entraîner une sursollicitation du système de chauffage.
Coût moyen d’une bouche d’aération : de 5 à 25 euros TTC.
Comptez au moins deux bouches d’aération par pièce, une placée en hauteur pour évacuer l’air chaud et vicié qui a naturellement tendance à s’accumuler près du plafond, et une placée légèrement au-dessus du niveau sol pour laisser entrer l’air extérieur et créer une circulation d’air. Ces bouches devront être équipées d’une grille pour éviter que d’éventuels nuisibles puissent les emprunter pour pénétrer à l’intérieur de votre logement.
Les ventilateurs et les déstratificateurs d’air
Suspendus depuis les plafonds, les déstratificateurs d’air sont avant tout destinés à brasser la chaleur de haut en bas. Néanmoins, en évitant que l’air chaud ne stagne dans les strates hautes de la pièce, ils peuvent contribuer à la bonne aération d’un logement et vous aider à faire des économies sur vos factures de chauffage. Ils peuvent être utilisés seuls ou en complément d’un autre système d’aération. Il existe deux grandes familles de déstratificateurs :
- les ventilateurs domestiques à pâles : suspendus depuis le plafond, ils représentent un moyen peu coûteux de brasser efficacement l’air d’une pièce, la consommation électrique d’un ventilateur étant relativement faible. Toutefois, notez que les ventilateurs ne contribuent pas directement au renouvellement de l’air.
Coût moyen d’un ventilateur à pâles : de 50 à 250 euros TTC ; - les brasseurs d’air professionnels : directement accrochés au plafond d’une pièce ou dissimulés dans un faux plafond et reliés à un réseau de gaines, les brasseurs d’air professionnels sont équipés de puissants ventilateurs abrités dans des caissons métalliques qui font redescendre l’air chaud piégé près du plafond jusqu’au sol. Ils peuvent s’avérer très utiles pour des maisons présentant des pièces avec d’importantes hauteurs sous plafond et très difficile à aérer, même avec un système mécanique type VMC.
Coût moyen d’un brasseur d’air professionnel : entre 2 000 et 4 000 euros TTC, pose comprise.
En brassant efficacement l’air d’une pièce, on estime qu’un déstratificateur permet de faire jusqu’à 30 % d’économies sur votre facture d’énergie consacrée au chauffage et davantage s’il est couplé à un système d’aération mécanique. Notez que certains climatiseurs permettent également de ventiler efficacement l’air d’une pièce.
Pour aller plus loin, vous pouvez également consulter l’article traitant spécifiquement de la ventilation pour appartement ou une maison.
Le puits canadien
Aussi appelé « puits provençal » dans le sud de la France ou puits climatique, le puits canadien est un système de ventilation vieux comme le monde mais terriblement efficace. Il permet de ventiler le logement avec de l’air frais l’été et doux l’hiver sans aucun apport d’énergie en utilisant uniquement les calories présentes dans le sous-sol.
Le principe est simple. Une prise d’air protégée d’une grille est installée à l’extérieur du logement. Elle est raccordée à un conduit qui passe dans le sous-sol jusqu’à sous la maison, puis remonte à l’intérieur du logement pour alimenter un système de distribution de l’air. La température étant toujours plus ou moins constante dans le sous-sol (hiver comme été, elle tourne autour de 14 °C en France) en fonction de la saison, l’air extérieur empruntant ce conduit se réchauffe ou se refroidit avant d’être distribué dans la maison.
Coût moyen d’un puits canadien : de 5 000 et 7 000 euros TTC, pose comprise.
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La VMC ou Ventilation mécanique contrôlée
La VMC est l’un des systèmes de ventilation les plus couramment employés. Il est constitué d’un ventilateur motorisé alimenté en électricité depuis le tableau électrique. Placé dans les combles ou dans un faux plafond, il aspire l’air vicié des pièces via des conduits d’extraction disposés un peu partout dans le logement puis l’expulse à l’extérieur pour le remplacer par de l’air frais. Notez que la consommation électrique d’une VMC est relativement limitée, même pour les modèles les plus performants. Il existe trois principaux types de VMC :
- la VMC à simple flux : la circulation de l’air se fait dans un seul sens, de l’intérieur vers l’extérieur, créant une dépression attirant l’air extérieur qui entre dans le logement par des bouches d’aération disposées dans chaque pièce.
Coût moyen d’une VMC à simple flux : entre 800 et 1 600 euros TTC, pose comprise ; - la VMC gaz : ce système de ventilation mécanique à simple flux présente la spécificité d’être raccordé à la chaudière de gaz du logement pour permettre l’évacuation des fumées de combustion et éviter, notamment, tout risque d’intoxication au monoxyde de carbone.
Coût moyen d’une VMC gaz : entre 500 et 1 000 euros TTC, pose comprise ; - la VMC à double flux : l’air intérieur est expulsé vers l’extérieur comme avec une VMC simple flux, mais un second conduit équipé d’un échangeur thermique permet de récupérer les calories de l’air sortant et de les transférer à l’air entrant. En hiver, ce système permet de préchauffer l’air extérieur entrant dans le logement.
Coût moyen d’une VMC à double flux : entre 6 000 et 8 000 euros TTC, pose comprise ; - la VMC à double flux thermodynamique : elle fonctionne comme une VMC à double flux mais l’échangeur thermique dont elle est équipée est beaucoup plus performant. Ce type de système permet presque de se passer de chauffage.
Coût moyen d’une VMC à double flux thermodynamique : de 8 000 à 14 000 euros TTC, pose comprise.
Notez qu’en plus de contribuer à la bonne aération du logement en apportant de l’air venant de l’extérieur, une bonne VMC permet de faire d’importantes économies d’énergie et de moins solliciter le chauffage. En hiver, on estime qu’une VMC double flux thermodynamique permet de récupérer jusqu’à 90 % de la chaleur de l’air expulsé du logement pour la restituer à l’air entrant. C’est bon pour la qualité de l’air de votre logement et c’est bon pour votre budget chauffage.
La VMR ou Ventilation mécanique répartie
La VMR fonctionne comme une VMC à simple flux, mais c’est un dispositif plus simple qui permet d’aérer une unique pièce. Il n’est pas relié à un réseau général d’aération et est constitué d’un simple petit ventilateur qui expulse l’air à l’extérieur via une bouche d’extraction. Il nécessite également la pose dans la pièce concernée d’une prise d’air pour laisser entrer l’air extérieur. Alimentée en électricité et disposant éventuellement de son propre circuit électrique depuis le tableau général, une VMR peut s’allumer manuellement, à chaque fois qu’on entre dans la pièce par exemple, ou fonctionner en continu. Ce type de système est souvent utilisé pour les pièces d’eau : toilettes ou salle de bains.
Coût moyen d’une VMR : entre 150 et 600 euros TTC, pose comprise.
Pour en savoir plus à ce sujet, consultez notre article sur la ventilation mécanique répartie.
La VMI ou Ventilation mécanique inversé par insufflation
La VMI est la copie conforme d’une VMC à simple flux, mais montée à l’envers. Ce n’est pas l’air intérieur qui est extrait vers l’extérieur mais l’air extérieur qui est insufflé dans le logement via un conduit de diffusion qui passe de pièce en pièce. Ce système provoque une légère surpression qui permet d’expulser l’air extérieur par des bouches d’aération disposées un peu partout dans le logement. Selon les modèles, l’air peut être filtré, préchauffé ou laissé tel quel avant d’être insufflé dans le logement.
Coût moyen d’une VMI : entre 2 000 et 3 000 euros TTC, pose comprise.
Pour en savoir plus à ce sujet, consultez notre article sur la ventilation mécanique insufflée.
Nous l’avons vu en préambule, l’aération d’un logement est primordiale pour renouveler l’air intérieur et conserver un environnement de vie sain, mais pas seulement ! Aérer sa maison est également un excellent moyen de faire des économies d’énergie sur vos dépenses de chauffage ou de climatisation. Et c’est encore plus efficace si vous confiez l’aération de votre logement à un système mécanique. Dans le contexte actuel de hausse des prix de l’énergie, il est toujours opportun d’essayer de faire baisser sa consommation de gaz ou d’électricité de quelques kWh. Pensez-y !
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