Quelle température idéale à la maison ?

En intérieur, la température des pièces doit être suffisante sans être excessive, afin que l’on s’y sente bien. Un chauffage non performant en hiver ou, à l’inverse, un manque de fraîcheur en été génère une réelle sensation d’inconfort. Selon l’ADEME, 2 Français sur 3 ont froid à la maison à la saison hivernale, bien que le chauffage soit allumé. Une température ambiante trop basse ou trop élevée peut aussi être la cause de problèmes de santé, tels qu’une mauvaise circulation sanguine. Enfin, chauffer ou climatiser excessivement alourdit la facture énergétique. Alors, quelle est la température idéale à la maison, permettant d’allier confort thermique et économies d’énergie ? Comment bien maîtriser sa température au sein d’un logement ? Choisir.com répond en détail à ces questions.

température idéale à la maison

Les températures idéales en intérieur

19 °C : c’est la température moyenne recommandée par l’ADEME, agence de la transition écologique, en maison ou en appartement. Un bon compromis pour bénéficier d’un confort acceptable tout en limitant les coûts en énergie (et donc les émissions de gaz à effet de serre). Bien évidemment, cette donnée fluctue selon le type de pièce et l’usage qui en est fait.

La température idéale à la maison, pièce par pièce

Qu’est-ce qu’une « température idéale » ? Tout simplement, une température qui vous permet de n’avoir ni trop chaud, ni trop froid chez vous, lorsque vous êtes habillé(e) de façon cohérente avec la saison : avec un pull bien chaud en hiver, par exemple.

L’ADEME préconise de moduler les températures en fonction des pièces, si votre dispositif de chauffage le permet :

  • dans les pièces à vivre (salon, salle à manger, cuisine, bureau), elle conseille une température de 19 °C (21 °C maximum) lorsqu’elles sont occupées en journée, et de 17 °C la nuit ;
  • pour les chambres, une température permanente de 17 °C est suffisante, sous réserve d’être équipé d’une couette bien chaude ;
  • dans les lieux de passage (entrée, couloirs, dégagements) et les pièces peu occupées (WC, buanderie), une température de 17 °C est, là aussi, tout à fait adaptée ;
  • enfin, la salle de bains est la pièce qui requiert la température la plus élevée, lorsqu’elle est utilisée : 22 °C. En revanche, en dehors des temps d’utilisation, une température de 17 °C suffit amplement.

Le chauffage, premier poste de dépenses en énergie

Les deux tiers de notre consommation énergétique sont alloués au chauffage : c’est donc un poste très important dans le budget des ménages. En moyenne, les foyers français dépensent 1 661 € chaque année pour se chauffer. En fonction du type d’équipement, la facture peut encore grimper : plus de 1 900 € pour les ménages équipés d’un dispositif fonctionnant au fioul.

Respecter des températures raisonnables au sein de son logement, c’est donc non seulement un choix judicieux pour l’environnement et pour sa santé, mais également pour son portefeuille : selon l’ADEME, baisser le chauffage de 1 °C seulement permettrait de réduire sa consommation énergétique de 7 % !

Les autres critères à prendre en compte pour un confort optimal

Les préconisations de l’agence de la transition écologique doivent, bien sûr, être adaptées en fonction de plusieurs éléments :

  • l’usage réel de la pièce : par exemple, une chambre d’enfant peut être considérée comme une pièce à vivre et offrir une température de 19 °C à 21 °C en journée, contrairement à une chambre parentale. Par ailleurs, si le bureau n’est utilisé que ponctuellement, il doit être réglé à 17 °C en dehors des moments d’utilisation ;
  • la présence d’un bébé au sein du foyer : en effet, un nourrisson ou un enfant en très bas âge n’a pas la capacité de bien réguler sa température. Il faut donc veiller à ce qu’il bénéficie, de façon constante, d’une température située entre 18 °C et 20 °C. Pour les temps de bain, l’Assurance Maladie préconise une température ambiante de 22 °C à 25 °C ;
  • le calendrier familial : lors d’une absence prolongée (week-ends, vacances), le chauffage peut être baissé à une température de 12 °C à 14 °C dans l’ensemble de l’habitation, afin de limiter le gaspillage énergétique ;
  • les saisons : l’ADEME recommande de baisser le chauffage lors des beaux jours, à l’automne et au printemps, les habitations bénéficiant naturellement des températures extérieures plus clémentes et de l’effet du soleil sur les parois vitrées.

Retrouvez dans notre illustration l’ensemble des recommandations de l’ADEME :

les températures idéales selon les différentes pièces de la maison

Suffit-il de régler le chauffage à 19 °C pour obtenir une température de 19 °C dans la pièce ?

Bien souvent, ce n’est malheureusement pas le cas. En fonction de la performance de votre isolation, il vous faudra pousser plus ou moins le robinet thermostatique. C’est notamment le cas si votre maison ou appartement a été construit avant 1974 (à l’instar de deux tiers des logements actuels), alors qu’il n’existait aucune réglementation thermique.

Il en va de même pour l’exposition de la pièce : selon qu’elle soit exposée plein sud ou au nord, qu’elle offre de grandes baies vitrées ou, au contraire, de petites ouvertures, le besoin en chauffage pour atteindre une température confortable ne sera évidemment pas le même.

Température au sein d’un logement : que dit la loi ?

Afin de protéger les locataires de bailleurs peu scrupuleux, mais également de limiter les risques de gaspillage énergétique, les températures au sein d’un logement sont réglementées.

18 °C, selon le Code de la construction et de l’habitation

Selon l’article R111-6 du Code de la construction et de l’habitation actuellement en vigueur depuis la publication du décret n° 2019-873 le 21 août 2019 :

« Tout logement […] doit pouvoir être chauffé […] moyennant une dépense d’énergie limitée […]. Les équipements de chauffage du logement permettent de maintenir à 18 °C la température au centre des pièces du logement. »

L’article de loi précise également que l’occupant doit être en mesure, s’il le souhaite, d’obtenir une température inférieure à 18 °C, par le biais de systèmes de réglage automatique.

19 °C, selon le Code de l’énergie

Les articles R241-26 et R241-27 du Code de l’énergie, créés par décret n° 2015-1823 du 30 décembre 2015 et toujours en vigueur, fixent quant à eux la limite à 19 °C en moyenne :

« Dans les locaux à usage d’habitation […], les limites supérieures de température de chauffage sont […] fixées en moyenne à 19 °C. »

Cette limite de 19 °C est valable pour l’ensemble des pièces du logement.

Lorsque le logement est inoccupé pendant 24 à 48 heures, la température maximale est fixée à 16 °C. Au-delà de 48 heures, elle est de 8 °C.

Réglementation : quelles implications concrètes ?

Rassurez-vous, si vous chauffez votre logement à des températures bien supérieures à celles fixées par la réglementation, aucune sanction particulière n’est prévue.

En revanche, ces contraintes réglementaires permettent aux locataires d’agir auprès de leur propriétaire-bailleur et aux propriétaires auprès de leur syndic, lorsque leur logement n’offre pas la possibilité de réguler correctement la température et qu’il est surchauffé (cas de nombreuses copropriétés en chauffage collectif). C’est, en effet, au syndic de copropriété de s’assurer de la conformité du bâtiment avec la réglementation, afin d’offrir aux occupants la possibilité de diminuer leur consommation et, par conséquent, leur facture d’énergie.

Température réelle et température ressentie

Il est fréquent d’avoir froid chez soi, malgré un chauffage en marche et un thermomètre affichant 20 °C. Pourquoi ? Tout simplement parce que la température réelle de la pièce n’est pas celle ressentie par notre corps.

Qu’est-ce que la température ressentie ?

La température ressentie est un indice basé sur l’impression physiologique de froid ou de chaud.

En intérieur, elle se mesure en fonction :

  • de la température réelle de la pièce ;
  • de l’humidité ;
  • de la température des murs ;
  • des éventuels mouvements d’air.

Les facteurs d’inconfort au sein d’un logement

Un logement mal isolé génère donc nécessairement une sensation d’inconfort, malgré un chauffage réglé à une température élevée (et des factures énergétiques en conséquence). Ceci explique en partie pourquoi deux tiers des Français ont froid chez eux l’hiver.

Les parois froides

Dans les habitations peu ou pas isolées, la présence de nombreux ponts thermiques et l’absence de matériau isolant performant (sur les murs extérieurs et la toiture notamment) sont responsables de « parois froides ».

Ainsi, avec une température extérieure de 0 °C et une température réelle de 20 °C en intérieur, un mur non-isolé affichera seulement 12 °C… et les occupants ressentiront une température de 16 °C. La raison : la paroi froide aspire la chaleur du corps et abaisse considérablement la température ressentie.

Dans cet autre exemple de l’ADEME ci-dessous, on peut observer qu’à température ambiante équivalente (20 °C), une paroi bien isolée, affichant une température de 19 °C, offre une température ressentie de 19,5 °C (c’est-à-dire très proche de la température réelle). En revanche, une paroi faiblement isolée, affichant une température de 14 °C, provoque une température ressentie de seulement 17 °C. De quoi donner envie d’augmenter le chauffage de quelques degrés !

schéma explicatif de la température ressentie en intérieur
Source : ADEME

Les infiltrations d’air

Tout comme les parois froides, les mouvements de l’air liés aux infiltrations non contrôlées (passage d’air sous une porte, autour de fenêtres dont les joints sont défectueux ou via le conduit de cheminée, par exemple) sont responsables d’une sensation d’inconfort.

schéma des infiltrations d'air ressenties
Source : ADEME

Un taux d’humidité inadéquat

Enfin, dans un logement mal isolé et peu ventilé, un fort taux d’humidité créé une gêne pour les occupants et peut également impacter leur santé : la moiteur ambiante étant responsable de la dégradation des cloisons et du développement de germes.

À l’inverse, un environnement trop sec peut provoquer une irritation des voies respiratoires.

Pour un confort optimal, le taux d’humidité idéal en intérieur se situe aux alentours de 50 %. Au-delà de 60 %, l’humidité est trop forte. En deçà de 35 %, elle est insuffisante.

schéma humidité ressentie
Source : ADEME

Bien maîtriser sa température : recommandations

Connaître les préconisations en matière de températures intérieures est une bonne chose, mais encore faut-il être en mesure de bien les maîtriser ! Voici donc quelques recommandations à suivre.

L’isolation, la clé de la maîtrise des températures au sein du logement

La première question à se poser est celle-ci : mon logement est-il suffisamment isolé ? L’ADEME insiste bien sur ce point : il est inutile d’engager de grands frais en changeant son dispositif de chauffage ou en installant une climatisation, si l’isolation n’est pas performante.

Les habitations construites avant 1975 présentent généralement un faible confort thermique, à l’exception de celles ayant été rénovées. Nombreux sont les logements plus récents affichant également une isolation insuffisante.

Comment reconnaître un logement mal isolé ?

L’étiquette énergie, intégrée au diagnostic de performance énergétique du logement (DPE), permet de connaître sa consommation d’énergie primaire. Le logement est classé sur une échelle de A à G. Aujourd’hui, plus de trois habitations sur dix sont encore extrêmement énergivores (classées F ou G) : des travaux de rénovation énergétique sont nécessaires pour une bonne régulation des températures intérieures.

Selon l’ADEME, en France, seulement 14 % des logements bénéficient d’une isolation performante ou très performante (classes A, B, C) :

isolation A à G
Source : ADEME

La rénovation énergétique offre de multiples bénéfices :

  • un plus grand confort, grâce à la suppression des déperditions thermiques (dues notamment aux parois froides et à la présence de ponts thermiques), des infiltrations d’air et de l’excès d’humidité ;
  • un chauffage plus efficace, donc moins coûteux ;
  • une augmentation de la valeur de la maison ou l’appartement à la revente.

Comment engager des travaux d’isolation ?

Le réseau FAIRE, service public de la rénovation énergétique, accompagne gratuitement les propriétaires dans leurs travaux d’isolation, en leur proposant des conseils adaptés et en les orientant sur les différentes aides disponibles.

Choisir un dispositif de chauffage efficace

Le chauffage représente en moyenne 66 % des consommations énergétiques d’un foyer. Le remplacement d’un équipement énergivore par un dispositif de chauffage plus performant ou l’installation d’un système d’appoint en complément du chauffage central existant, permet de gagner en confort et de réaliser des économies d’énergie sur le long terme.

En fonction du type de logement, de sa taille et du budget alloué, l’un ou l’autre des différents dispositifs pourront être conseillés : chauffage électrique, gaz ou bois.

En matière de confort, les émetteurs de chaleur offrent des performances différentes :

  • par exemple, les convecteurs électriques et les panneaux radiants dessèchent l’air ambiant et offrent donc un confort médiocre ;
  • les radiateurs électriques à accumulation ou à inertie chauffent moins vite, mais présentent un confort supérieur ;
  • les radiateurs basse température et les planchers chauffants offrent une chaleur agréable et un bon confort thermique au quotidien.

Comment bien choisir son dispositif de chauffage ?

Comme pour les travaux d’isolation, le réseau FAIRE accompagne et conseille les particuliers dans leurs démarches.

Par ailleurs, l’ADEME a publié en juin 2019 le guide « Se chauffer mieux et moins cher », qui présente de façon détaillée les différents systèmes de chauffage existants et leurs caractéristiques.

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Réguler et programmer

La clé d’une bonne maîtrise des températures intérieures réside bien évidemment dans la capacité à réguler et programmer ses différents chauffages.

Réguler

La régulation consiste à maintenir la température ambiante d’une pièce à la valeur définie, en prenant en compte les éléments extérieurs au système de chauffage lui-même : évolution de la température extérieure et apport de chaleur lié au soleil, à la mise en marche d’un four ou encore à l’éclairage.

En régulant, on optimise donc le fonctionnement du dispositif de chauffage et, par conséquent, ses dépenses en énergie.

Plusieurs équipements existent :

  • dans les logements disposant d’un chauffage central, la régulation globale de l’habitation peut être effectuée grâce à un thermostat d’ambiance, complété ou non par une sonde extérieure. Une régulation plus précise, pièce par pièce, est également possible en installant des robinets thermostatiques sur chacun des radiateurs ;
  • dans les logements avec chauffage décentralisé, l’équipement de régulation est fonction du type de dispositif de chauffage : thermostat électronique pour les convecteurs et sèche-serviettes, thermostat d’ambiance pour les radiateurs à accumulation, les planchers ou encore les plafonds rayonnants.

Programmer

La programmation consiste à moduler la température d’une pièce en fonction de son usage, et donc du moment de la journée et/ou de la semaine. En effet, pourquoi chauffer la chambre d’un ado le lundi, alors qu’il est au lycée ? En revanche, celui-ci appréciera une température plus élevée le week-end.

Avec la programmation, le programme des températures est déterminé à l’avance, mais peut être facilement modifié en cas de changement dans le planning habituel du foyer (congés, par exemple).

La programmation est donc complémentaire à la régulation. Parmi les équipements disponibles, certains appareils de régulation offrent également la possibilité de programmer :

  • thermostats d’ambiance programmables manuellement ;
  • robinets thermostatiques ou thermostats électroniques programmables ;
  • thermostats connectés, contrôlés à distance depuis une application sur smartphone, tablette ou ordinateur.

Il existe également des programmateurs multi-zones, qui permettent de créer des programmes par typologie de pièce (chambres, pièces à vivre, etc.).

Installer des systèmes de régulation ou de programmation : quel budget prévoir ?

Selon l’ADEME, il faut compter entre 50 € et 100 € par unité pour la pose de robinets thermostatiques. L’installation d’une régulation programmable coûte entre 150 € et 400 €.

Les autres bonnes pratiques pour bénéficier d’un bon confort thermique

L’application d’un certain nombre de bonnes pratiques permet d’optimiser le confort à l’intérieur de son logement.

Bien ventiler son logement

Une ventilation efficace est essentielle : en effet, le renouvellement de l’air permet de réduire les polluants présents dans la maison (liés, par exemple, à l’utilisation de produits ménagers chimiques) et d’évacuer l’excès d’humidité, produite par les bains et douches, le séchage du linge, et même par les occupants eux-mêmes.

Bien ventiler, en aérant régulièrement et en installant une ventilation performante, est la clé pour profiter d’un air sain, indispensable au confort thermique.

Plusieurs types de dispositifs vous permettent de bénéficier d’une ventilation efficace :

  • la VMC (ventilation mécanique contrôlée) ;
  • la VMR (ventilation mécanique répartie) ;
  • la VMI (ventilation mécanique insufflée).

Le saviez-vous ?

Un hygromètre ou une station météo vous permet de mesurer facilement l’hygrométrie (c’est-à-dire le taux d’humidité) de votre intérieur au quotidien.

Recommandations pour conserver un logement frais en été

Les chaleurs estivales peuvent faire grimper les températures en intérieur, notamment si le logement est faiblement isolé.

Pour conserver une certaine fraîcheur, l’ADEME donne quelques conseils simples :

  • tirer les rideaux ou baisser les stores dès l’arrivée du soleil ;
  • fermer les volets lorsque le soleil frappe directement le vitrage et en cas d’absence ;
  • fermer les fenêtres dès lors que la température extérieure est supérieure à celle à l’intérieur de l’habitation ;
  • aérer la nuit pour faire circuler l’air frais et ainsi abaisser la température des murs, planchers et plafonds ;
  • arroser les plantes le soir afin de mieux rafraîchir l’atmosphère ;
  • utiliser un brasseur d’air (idéalement fixé au plafond) uniquement lorsqu’on est présent dans la pièce.

La climatisation : uniquement si nécessaire

L’ADEME préconise de ne pas recourir à un système de climatisation, très consommateur en énergie et nécessitant de conserver les portes et fenêtres fermées en permanence, sauf pour les personnes fragiles et sensibles aux fortes chaleurs (personnes âgées, notamment).

Réaliser des économies d’énergie

Bien maîtriser ses températures à l’intérieur de son habitation, en assurant une bonne isolation, en choisissant un dispositif de chauffage efficace, en régulant, programmant et en adoptant les bons gestes, c’est à la fois gagner en confort et réduire ses dépenses énergétiques.

Mais savez-vous qu’il existe un moyen simple, rapide et efficace pour diminuer significativement ses factures en gaz et en électricité chaque mois ?

Depuis 2007, les usagers ne sont plus contraints de se fournir auprès des opérateurs historiques EDF et Engie (ex-GDF). En effet, les marchés du gaz et de l’électricité sont désormais ouverts, et un grand nombre de fournisseurs en énergie proposent des offres différenciantes et, le plus souvent, moins chères.

Afin d’aider les consommateurs dans leur recherche d’une offre adaptée et avantageuse, Choisir.com met gratuitement à disposition son comparateur en gaz et électricité :

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Êtes-vous sûr de ne pas payer votre énergie trop cher ?

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Le changement de fournisseur d’énergie est sans frais ni engagement de durée : une bonne raison de se laisser tenter par des économies d’énergie !

Enfin, d’autres gestes simples permettent également de réduire ses factures, en optimisant la performance de ses installations :

  • purger ses radiateurs une fois par an, idéalement à la fin de l’été ou au début de l’automne ;
  • les dépoussiérer régulièrement et les dégager de tout obstacle (ne pas placer de meuble devant, ne poser aucun objet dessus) ;
  • calorifuger ses canalisations ;
  • entretenir régulièrement sa chaudière.

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