L’installation électrique

L’installation électrique permet d’alimenter en électricité les points lumineux, les prises de courant et les différents appareils électriques d’un logement. Raccordée au réseau de distribution de l’électricité via un disjoncteur général et un dispositif de comptage, sa réalisation, au moins pour les constructions neuves, doit respecter certaines règles pour des raisons de confort et de sécurité. Détails des normes en vigueur, description de ses différents éléments, raccordement et mise en service : retrouvez dans les lignes qui suivent tout ce qu’il faut savoir sur l’installation électrique d’un logement à usage d’habitation.

Installation électrique

Qu’est-ce qu’une installation électrique ?

Une installation électrique regroupe un ensemble de circuits et d’appareillages électriques permettant de distribuer de l’électricité dans une maison ou un appartement à partir du dispositif de comptage, lui-même raccordé au réseau public de distribution de l’électricité.

Sa conception et sa réalisation sont à la charge du propriétaire du logement concerné. Pour des raisons de sécurité et de confort d’utilisation, elles doivent respecter des règles strictes, aussi bien en neuf qu’en rénovation, décrites dans la norme française NF C 15-100.

Cette norme stipule notamment qu’une installation électrique doit obligatoirement posséder :

La norme NF C 15-100 a porté différents noms depuis sa première publication au début du 20e siècle. Elle compile un ensemble de préconisations régulièrement mises à jour que doit respecter la réalisation d’une installation électrique pour être considérée comme étant « aux normes ». Elle s’applique pour tous types de bâtiment : habitation, commerce, industriel, etc.

Le dernier amendement rectificatif de la norme NF C 15-100 date de juin 2015.

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La norme NF C 15-100 dans le neuf

Concernant la réalisation d’une nouvelle installation électrique lors de la construction d’une maison individuelle ou d’un appartement, l’application de la norme NF C 15-100 est toujours obligatoire. Cette dernière donne des indications très précises en fournissant notamment une liste d’équipements requis pièce par pièce que nous avons rassemblés pour vous dans le tableau ci-dessous :

Type de pièce Équipement minimal
Cuisine– 1 point lumineux commandé,
– 6 prises de courant à 10/16 ampères dont 4 en hauteur,
– 1 circuit indépendant protégé par un différentiel de 32 ampères pour les plaques de cuisson,
– 1 circuit indépendant protégé par un différentiel de 20 ampères pour chaque appareil de type lave-linge, branchement du four, etc.
Séjour– 1 point lumineux commandé,
– 1 prise de courant à 16 ampères + 1 prise supplémentaire par tranche de 4 m2, 1 prise RJ45 ou 1 prise TV et 1 prise téléphone.
Chambre– 1 point lumineux commandé,
– 3 prises de courant à 16 ampères, 1 prise RJ45.
Couloir– 1 point lumineux commandé,
– 1 prise de courant à 16 ampères, 1 prise RJ45 pour les espaces supérieurs à 4 m2.
Salle de bains– 1 point lumineux commandé,
– 1 prise de courant à 16 ampères et une seconde prise à proximité de l’interrupteur d’éclairage.
W.-C.– 1 point lumineux commandé.

Parmi ses nombreuses recommandations, la norme NF C 15-100 indique également l’emplacement attribué à chaque élément de l’installation électrique, la hauteur à laquelle doivent être installés le tableau, les dispositifs de commande ou les prises de courant, mais également la sensibilité de chaque disjoncteur différentiel en fonction de l’appareil alimenté ainsi que le diamètre des fils utilisés.

Bon à savoir

La norme NF C 15-100 est un document confidentiel dont la publication complète ne peut être autorisée. Pour télécharger la version PDF payante, rendez-vous sur le site de l’AFNOR, l’association française de normalisation.

La norme NF C 15-100 pour une mise en conformité dans l’ancien

La mise en conformité d’une ancienne installation électrique consiste à entreprendre tous les travaux nécessaires afin qu’elle respecte les préconisations fixées par la norme NF C 15-100. La réfection d’une installation lors de la rénovation totale d’un logement ancien doit donc suivre exactement les mêmes règles que pour la réalisation d’une installation électrique lors de la construction d’un logement neuf.

Toutefois, en ce qui concerne pour la rénovation partielle d’un logement ancien, il n’est pas obligatoire de mettre l’installation électrique en conformité et de respecter toutes les indications prescrites par la norme NF C 15-100, ce qui impliquerait dans la plupart des cas de refaire intégralement l’installation électrique. Le respect strict de la norme NF C 15-100 est uniquement obligatoire dans les cas suivants :

  • construction neuve ;
  • construction d’une extension ;
  • rénovation totale.

Monophasé ou triphasé : quelle différence ?

Avec une installation en triphasé, la phase circule dans trois fils au lieu d’un avec une installation en monophasé. Pour votre installation électrique, vous devez choisir l’un ou l’autre en fonction de vos besoins en électricité. Tout est une question de puissance (apparente, réactive ou active). Si vos besoins simultanés peuvent aller au-delà de 12 kVA, il est préférable d’opter pour une installation électrique en triphasé.

Le diagnostic électrique obligatoire

Les propriétaires souhaitant vendre ou louer un bien immobilier dont l’installation électrique a plus de 15 ans doivent fournir un diagnostic électrique réalisé par un professionnel. Ce diagnostic prévoit six points de contrôle, réalisés visuellement ou à l’aide d’instruments de mesure, qui permettent d’indiquer quelles sont les caractéristiques de l’installation au regard des exigences de sécurité.

Bon à savoir

Il n’est pas nécessaire que l’installation électrique d’un logement respecte la norme C 15-100 ou que le diagnostic ne révèle rien d’anormal pour vendre ou mettre en location un bien. En ce qui concerne la location, le bailleur doit en revanche fournir un logement en bon état, installation électrique comprise, ce qui demande a minima de vérifier sa mise en sécurité par un professionnel.

Les différents éléments d’une installation électrique

Une installation électrique est composée de différents éléments qui permettent d’acheminer le courant alternatif ou continu depuis le réseau public jusqu’à chaque appareil électrique du logement en toute sécurité.

Le dispositif de comptage

À proprement parler, le dispositif de comptage, ou compteur électrique, ne fait pas partie de l’installation électrique intérieure. Situé à l’extrémité du réseau public de distribution, il appartient à la collectivité. C’est la porte d’entrée de l’électricité à votre installation intérieure. Il permet au gestionnaire de mesurer la quantité d’électricité que vous avez consommée sur une période donnée.

Notez bien qu’il est formellement interdit d’intervenir vous-même sur le compteur électrique pour, par exemple, modifier son emplacement à l’occasion de la réfection de votre installation électrique. Si vous souhaitez déplacer un compteur ou modifier sa puissance, vous devez toujours en faire la demande auprès d’Enedis, le gestionnaire du réseau public de l’électricité.

Et pour les bâtiments ?

Pour en apprendre plus sur les colonnes électriques des bâtiments, consultez notre article dédié.

Le disjoncteur de branchement

Le disjoncteur de branchement, aussi appelé disjoncteur général ou disjoncteur d’abonné, est situé sur la Gaine technique du logement (GTL), plus précisément entre le compteur électrique et le tableau électrique de répartition. Il permet de protéger l’ensemble de votre installation en cas de surcharge, de surtension électrique ou de court-circuit et de couper manuellement l’alimentation générale en cas de nécessité.

Le disjoncteur de branchement est le point de départ d’une installation électrique intérieure. Il marque la frontière entre le domaine privé et le domaine public, entre ce qui relève de la norme NF C 14-100, en amont du disjoncteur, et ce qui relève de la norme NF C 15-100 en aval. Selon votre puissance de raccordement, vous devrez opter pour un disjoncteur général monophasé ou triphasé.

L’installation d’un disjoncteur de branchement doit toujours être confiée à un électricien professionnel. Si le compteur électrique est situé à plus de 30 mètres du logement, Enedis installera un premier disjoncteur général en limite de propriété qui devra ensuite être complété par un second disjoncteur en amont immédiat du tableau électrique, à une hauteur située entre 0,90 et 1,80 m du sol.

NF C 14-100, NF C 15-100 : quelles différences ?

La norme NF C 14-100 encadre les travaux de maintenance ou d’extension du réseau public d’électricité géré exclusivement par les agents d’Enedis. La norme NF C 15-100 concerne uniquement les installations électriques intérieures privées et s’adresse davantage aux électriciens. Ces deux normes bien distinctes ne sont donc pas en concurrence, elles sont plutôt complémentaires.

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La mise à la terre

La mise à la terre d’une installation électrique consiste à prévoir un cheminement « jusqu’à la terre » pour évacuer un courant de fuite accidentel et éviter tout risque d’électrocution, c’est le cas de la colonne de terre d’un bâtiment. Le conducteur principal de terre est relié à une barrette de terre fixée sur le tableau électrique. Cette barrette de répartition permet de relier indépendamment à la terre chaque circuit de l’installation électrique.

La norme NF C 15-100 prévoit une résistance de terre maximale de 100 Ω pour un disjoncteur principal d’une sensibilité de 500 mA. La mise à la terre doit se faire via une liaison équipotentielle principale courant le long d’une canalisation métallique ou d’un élément métallique de la construction du bâtiment, en ajoutant une liaison équipotentielle supplémentaire pour la salle de bains.

Faire des économies grâce à deux sources d’énergie

Si vous souhaitez disposer d’une seconde source d’énergie (panneaux solaire, groupe électrogène) dans votre installation pour des économies ou pour éviter les désagréments des coupures EDF ou des micro-coupures de courant, pensez à l’inverseur électrique pour passer du réseau classique à votre seconde source.

 

Le tableau électrique

Le tableau électrique, ou tableau de répartition, est le point de départ et d’arrivée de tous les circuits électriques d’un logement. Directement branché sur le disjoncteur principal, il permet de répartir l’électricité dans chaque pièce de l’habitation en fonction de leurs besoins, de faire fonctionner un contacteur jour-nuit si besoin. Il abrite un ou plusieurs interrupteurs différentiels et autant de disjoncteurs différentiels que l’installation compte de circuits.

Les interrupteurs différentiels et les disjoncteurs différentiels vous protègent d’une surcharge ou d’un court-circuit et des chocs électriques. Pour garantir la sécurité des biens et des personnes, au-delà d’une certaine sensibilité, 30 mA maximum pour l’interrupteur et de 10 à 32 A pour les disjoncteurs, la protection différentielle coupe le courant dans le circuit concerné ou dans toute l’installation.

Retrouvez dans le tableau ci-dessous la protection différentielle nécessaire pour chaque type de circuits ou d’appareils ainsi que la section des fils électriques qui doivent être utilisées :

Type de circuit et d’appareil à protéger Interrupteur différentielDisjoncteur différentielSection des fils
LumièresUn interrupteur différentiel de 30 mA de type AC ou A pour 8 circuits10 A – 1 disjoncteur pour 8 points lumineux1,5 mm2
Prises16 A – 1 disjoncteur pour 8 prises
20 A – 1 disjoncteur pour 12 prises2,5 mm2
Volets ou stores roulants16 A – 1 disjoncteur pour tous les volets1,5 mm2
Radiateur20 A – 1 disjoncteur pour 4 500 W de puissance maximum2,5 mm2
Chauffe-eau20 A – 1 disjoncteur par appareil
Lave-vaisselle
Four
Lave-lingeUn interrupteur différentiel de 30 mA de type A pour 8 circuits20 A – 1 disjoncteur par appareil2,5 mm2
Recharge véhicule
Plaque de cuisson32 A – 1 disjoncteur par appareil6 mm2
CongélateurUn interrupteur différentiel de 30 mA de type F pour 8 circuits20 A – 1 disjoncteur par appareil2,5 mm2
Hi-Fi, bureautique16 A – 1 disjoncteur par appareil1,5 mm2

Les circuits électriques

Protégé avant par un fusible, aujourd’hui par un disjoncteur différentiel, un circuit électrique forme une boucle indépendante à partir du tableau électrique. Chaque circuit alimente en électricité un ou plusieurs appareils. Un circuit est composé d’une phase, le fil rouge, qui amène le courant et d’un neutre, le fil bleu, qui évacue le surplus vers le réseau public. Une mise à la terre, le fil jaune et vert, complète éventuellement le dispositif.

La section des fils électriques diffère selon l’intensité du courant censé emprunter le circuit. Plus l’intensité est importante, plus les fils doivent être épais. Pour connaître le diamètre recommandé en fonction de l’intensité du courant, référez-vous au tableau ci-dessus. Souples ou rigides, les fils électriques d’usage courant sont le plus souvent composés de cuivre, un excellent conducteur électrique.

Les appareils récepteurs

Plafonniers, appareils électriques ou prises de courant sont situés à l’extrémité des circuits électriques, là où est consommée l’électricité. En fonction du type d’appareil branché (luminaire, électroménager, pompe à chaleur, etc.) et de sa consommation d’électricité, indiquée en watt, le circuit l’alimentant devra être équipé de fils de la bonne section et d’un disjoncteur différentiel adapté.

Lorsqu’il est actif, un récepteur consomme de l’électricité pour la transformer en une autre énergie, cinétique ou thermique pour la plupart des appareils, c’est l’effet Joule. Pour une ampoule, par exemple, toute l’électricité reçue est convertie en énergie thermique pour produire de la lumière. Attention, gardez bien à l’esprit que lorsqu’un récepteur est inactif, la tension électrique n’est pas nulle pour autant dans le circuit.

En effet, tant que le disjoncteur d’un circuit électrique ou que le disjoncteur principal de l’installation n’est pas fermé, il existe une différence de potentiel entre ses deux pôles, et ce même si aucun appareil électrique n’est en fonctionnement ou même seulement branché sur une prise (sauf s’il s’agit d’un coupe-veille). Vous risquez donc toujours une électrisation, voire une électrocution par contact direct avec la phase ou le neutre.

Réalisation, raccordement et mise en service d’une installation électrique, à qui s’adresser ?

Que ce soit dans le cadre de la construction d’un logement neuf, d’une extension ou d’une rénovation, vous pouvez être amené à faire une installation électrique complète et à demander son raccordement au réseau public de distribution de l’électricité. Quels sont vos interlocuteurs ?

Pour la réalisation ou la mise en conformité d’une installation électrique

Pour la réalisation d’une nouvelle installation électrique, vous devez vous adresser à un électricien. N’hésitez pas à demander plusieurs devis en n’oubliant pas de vérifier que chacun de vos interlocuteurs dispose bien des assurances décennales obligatoires. En moyenne, sachez que le coût d’une installation électrique varie de 3 000 jusqu’à plus de 10 000 euros pour un grand logement.

Pour la création d’une nouvelle installation ou une mise en conformité, assurez-vous que les travaux envisagés respectent bien la norme obligatoire NF C 15-100 et que le matériel utilisé soit bien conforme à la réglementation française (NF ou équivalent). Pour vous aider à trouver un professionnel qualifié, vous pouvez vous référer aux labels qualité les plus plébiscités, comme QualifElec.

Bon à savoir :

Pour en apprendre plus sur les mesures à prendre pour se protéger de la foudre ou de décharges électriques, consultez nos articles dédiés :

Pour une mise en sécurité de votre installation électrique

Il est fortement recommandé de faire vérifier l’installation électrique de votre logement par un professionnel au moins tous les 10 ans. La norme NF C 15-100 évolue régulièrement et il est rare qu’une ancienne installation électrique soit conforme, sans que cela n’entraîne forcément un risque pour votre sécurité. Pour autant votre électricien peut vous proposer une mise en sécurité.

Cette intervention consiste à réaliser des vérifications et, si besoin, quelques travaux sur votre installation électrique afin qu’elle satisfasse aux exigences minimales de sécurité retenues par l’Officiel de l’Électricité, un document édité par l’association Promotelec et concernant spécifiquement les installations électriques des bâtiments existants, à savoir :

  • un disjoncteur de branchement facilement accessible ;
  • une mise à la terre associée à un dispositif de protection différentiel ;
  • un dispositif de protection différentiel pour chaque circuit ;
  • la présence d’une liaison équipotentielle pour chaque pièce d’eau ;
  • l’absence de matériels électriques vétustes (fil dénudé, interrupteur cassé, etc.) ;
  • l’absence de fils électriques non protégés (isolant électrique).

Pour le raccordement de votre installation électrique au réseau public

Une fois votre installation électrique terminée, vous devez la raccorder au réseau public de distribution pour pouvoir l’alimenter en électricité. Pour demander le raccordement de votre installation, faites-vous accompagner par un fournisseur d’énergie ou remplissez vous-même ce formulaire en ligne depuis le site d’Enedis, l’opérateur en charge de cette opération.

Retrouvez ci-dessous les six principales étapes à respecter pour une demande de raccordement au réseau d’électricité et la mise en service de votre installation électrique :

  1. déposez votre demande en ligne sur le site d’Enedis ;
  2. acceptez la proposition commerciale d‘Enedis en réglant l’acompte demandé ;
  3. réceptionnez les travaux et réglez le solde restant ;
  4. obtenez le certificat Consuel auprès de votre électricien ;
  5. souscrivez une offre auprès d’un fournisseur ;
  6. demandez la mise en service de l’électricité à votre fournisseur.

Le certificat Consuel : qu’est-ce que c’est ?

Le certificat Consuel est une attestation de conformité délivrée par l’organisme du même nom. Il certifie que votre installation intérieure répond bien aux normes en vigueur et notamment à la norme NF C 15-100. Pour l’obtenir : rendez-vous sur le site Consuel, téléchargez le formulaire Cerfa correspondant à votre situation, renvoyez-le rempli et effectuez votre paiement.
Après vérification, votre certificat visé vous est directement envoyé par voie postale ou bien une visite de contrôle est organisée dans un délai d’une vingtaine de jours.

À quel moment et à qui le demander ?

Idéalement, dès la fin des travaux. C’est à l’électricien qui a réalisé votre installation électrique de remplir le formulaire Cerfa que vous aurez préalablement téléchargé sur le site Consuel.

Quelle offre souscrire pour mon installation électrique intérieure ?

Pour demander la mise en service de votre installation électrique intérieure, vous devrez d’abord souscrire une offre d’électricité auprès d’un fournisseur d’énergie. C’est ce dernier qui se chargera pour vous de transmettre ensuite votre demande à Enedis, le gestionnaire unique du réseau de distribution de l’électricité sur l’immense majorité du territoire.

Depuis l’ouverture du secteur de l’énergie à la concurrence, il n’est plus obligatoire de souscrire un contrat auprès d’EDF. Vous pouvez désormais souscrire librement une offre auprès du fournisseur de votre choix, en optant par exemple pour un fournisseur alternatif d’énergie et profiter ainsi de tarifs souvent bien plus attractifs que ceux affichés par le fournisseur historique.

Pour trouver le fournisseur et l’offre qui correspondent à vos besoins tout en faisant baisser vos factures d’électricité, n’hésitez pas utiliser notre comparateur d’électricité en ligne. Totalement gratuit et facile d’utilisation, il se base sur une estimation de vos consommations réelles pour vous proposer en temps réel les offres les plus pertinentes du marché en fonction de vos critères.

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